Le petit prodige narre l'existence de Gallen, un enfant dont le rêve est de devenir un "garde-tempête", pour lutter contre tous les dangers présents sur son île "Tortuga", et défendre son peuple.
Celui-ci s'organise autour de règles strictes, mais tout bascule lorsqu'un jour, un naufragé accède à leur rivage. En parallèle, quelque chose chante dans les profondeurs. Une mélodie étrange et malsaine, comme un appel dont l'écho vibre dans chaque fibre de l'âme du petit Gallen.

Un homme seul peut-il bouleverser le destin d'une nation ? Quelles créatures terrifiantes hantent les étendues hostiles de Tortuga ? Qui peut bien vivre à l'abris des regards, dans un endroit où personne n'a jamais osé s'aventurer ?
Je vous invite à trouver les réponses à vos questions dès à présent.

Voici ma participation au défi d'@Erwan Barbedor@, consistant en un mélange de deux genre "fantasy" et "polar". Il se trouve que cette histoire a germé dans mon esprit depuis un moment déjà, mais que je manquais de motivation pour l'achever. Peut-être est-là une occasion inespérée d'y parvenir...

L'histoire raconte l'enquête de Méhara Hoper sur les terres du continent de Sombres-Roches, pour élucider une affaire de meurtre macabre.
Elle aura ainsi recours à son intelligence, sa logique, un fidèle ami mais aussi à tout un arsenal pour mener à bien sa mission.

Un meurtre, un émissaire de la couronne, un ordre ésotérique chargé de maintenir l'équilibre sur le continent de Sombres-Roches, et l'aventure commence. Qui ? Pourquoi ? Comment ? Méhara Hopper va mener l'enquête à l'aide de son intelligence, de ses outils, de son bon sens et d'un compagnon vaillant.

Saura-t-elle démêler le vrai du faux, et faire la lumière sur cette histoire sordide ? Je vous invite à le découvrir.

Réponse au défi d' @Antoine Bacham@, le 14/05/2020, et dont le but consistait en une réécriture en langage soutenu d'un texte :

« Marc marche vite dans la rue où il n'y a personne. Il est pressé car il va chez le dentiste et il est en retard. il est super déçu car sa voiture est en panne et il aurait voulu la prendre. Son RDV est à 15 heures et il n'a que 5 minutes pour parcourir les 3 kilomètres restants, alors il stresse. Il faut dire qu'il stresse aussi parce qu'il a horreur d'aller chez le dentiste. Il a peur d'avoir mal. La seule chose qu'il aime, c'est rencontrer la secrétaire car il la trouve belle et sympa et elle a de la conversation. Son rêve est de vivre avec elle, d'avoir des gosses et une belle maison. Mais, il se fait des films car ça n'arrivera jamais. Même s'ils ont le même âge, ils n'ont pas les mêmes goûts dans la vie, il en est sûr. ça y est, il arrive. Finalement, il n'a que 10 minutes de retard et personne ne le lui reproche. Il s'assied dans la salle d'attente et se met à lire une revue de voiture, en attendant son tour. »

Voici ma participation à un concours ayant été proposé par les éditions "les escales". Le thème traitait de l'amour et de l'exil.

Magique.
Quelle magie !
Un moment exquis.
Je me souviens encore.
De la pluie, du vent,
Et le frisson des premiers instants.
Il y avait l'amour de ma vie,
Et le soleil perçait à travers les verrières.
Une cascade de miel ondulait sous ses yeux,
Baignait ses lèvres de lumière mais aussi de désir ardent,
Une étreinte, une effleure, ô le parfum infernal des joies simples,
Son sourire, ses cheveux, et le paradis dessiné par ses courbes éternelles,
Enchaînent un homme libre aux plus infâmes mais aussi aux plus doux sacrilèges
Ô vais-je seulement pouvoir brûler tout l'amour jusqu'à l'aube nouvelle ?

Réponse au défi d'Antoine Bacham.

Voici ma participation au défi de "Accord écrit" et qui s'énonce comme ce qui suit :

« Bonjour !! Je vous propose d'écrire à partir de l'incipit de Stig Dagerman "Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureux, car un homme qui risque de craindre que sa vie soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut être heureux. Je n’ai reçu en héritage ni dieu, ni point fixe sur la terre d’où je puisse attirer l’attention d’un dieu : on ne m’a pas non plus légué la fureur bien déguisée du sceptique, les ruses de Sioux du rationaliste ou la candeur ardente de l’athée. Je n’ose donc jeter la pierre ni à celle qui croit en des choses qui ne m’inspirent que le doute, ni à celui qui cultive son doute comme si celui-ci n’était pas, lui aussi, entouré de ténèbres. Cette pierre m’atteindrait moi-même car je suis bien certain d’une chose : le besoin de consolation que connaît l’être humain est impossible à rassasier " dans Notre Besoin de consolation est impossible à rassasier.

Le texte lu dans son intégralité ici : https://www.youtube.com/watch?v=ofXXVHbZmlo

Que vous inspirent ces réflexions ? »

Texte en réponse au défi d'Antoine Bacham :

« Vous venez de mourir.

Votre cercueil repose dans un lieux de culte. Une foule de proches, d'amis et d'anonymes se masse pour pleurer votre disparition.

Parmi eux, votre plus grand admirateur se lève, s'avance lentement au centre du groupe et prend la parole pour faire votre éloge funèbre. Le plus bel éloge, le plus révélateur de votre personne, le plus passionné et le plus vivant que personne n'ait jamais fait sur vous.

Ecrivez-le en une dizaine de lignes maximum. Vous pouvez l'embellir à votre guise, personne n'ira vérifier. »

Réponse au défi proposé par Nina.M

Il n'y a pas de nombres entiers,
Pour prouver combien je t'aime,
Et oui pourtant j'ai bien cherché
La somme de tous les termes.
Une équation peut-être ?
Des inconnues sont définies,
Moi, homme de lettres,
Mais mon amour est infini.
Des différences j'en fais fi,
La valeur du nombre Pi,
Les virgules sont sécantes ;
Mes pensées sont éloquentes.

Je me meurs une fois de plus, comme je l'ai fait hier. Je m'interroge sur le sens de ma vie, mais j'imagine qu'il en va toujours ainsi. Je n'ai vu nul Dieu sur son trône de lumière, ou quiconque fébrile de mon attente. Je me suis tenu fièrement dans le grand vide, tandis que le gel emportait tout, jusqu'à mon âme même.
Mais pour chaque ultime respiration, comme un roc auquel m'attacher : une pensée.
Je sentais sous mes pieds les étendues obscures, tout comme je ressentais aussi ce que je chérissais le plus.
Alors mon roc se changea en navire, et des profondeurs deux mers naquirent.
Elles avaient la couleur de tes yeux, je m'y serais perdu pour toujours. Deux soleils identiques, bondirent hors de ces orbites. Je contemplai, puis au dessus des eaux je me penchai. J'y portais mes mains, baignées de la texture de ta peau, pour y plonger ma bouche, alors je m'en souvins : du goût de tes baisers.
Je voguais l'éternité, comme mes doigts l'ont fait pendant des années. Pour une vague rencontrée, une ride bien bombée. Et la somme des richesses, des infortunes et des gloires passées, je les troquai maintenant sans trembler, pour la vision que j'avais de l'ivresse.
Je me meurs une fois de plus, comme je l'ai fait hier. Mais à la lueur de ce que je fus, une chose demeurera dans les halles du néant : le souvenir impérissable de tout l'amour dont mon cœur regorge à ton égard.