« Et si une nouvelle chance nous était donnée, saurions-nous la saisir ? »

Voilà plusieurs siècles que les humains ont quitté la Terre en catastrophe, juste avant de faire face à leur propre extinction. Ils s'étaient pourtant eux-mêmes mis en garde contre les problèmes politiques, climatiques, et économiques, mais n'ont jamais pris le temps de s'écouter les uns les autres.

Sur Sagittari, ils se sont promis de ne pas réitérer les erreurs du passé, et cette nouvelle société a tout pour fonctionner parfaitement. Presque trop au goût d'Edwige, qui s'ennuie terriblement dans cet univers aseptisé où jamais rien d'extraordinaire ne se produit.

Aussi passe-t-elle son temps à espérer ce que tous les autres redoutent : du changement. Mais le vent qui s’apprête à lui en apporter sera-t-il une douce brise, ou un ouragan meurtrier ?

« Vous ne regarderez plus les montagnes de la même façon... »

Ne vous-êtes vous jamais arrêté pour admirer leurs formes majestueuses et si différentes d'un sommet à l'autre ? N'avez-vous jamais eu l'impression de reconnaître une forme particulière dans la roche, sur les arêtes ou les crêtes ?

Alice, adolescente rêveuse, est persuadée que sous la glace, la pierre et la terre se cachent des monstres à l'âge incalculable, enfouis dans un profond sommeil. Entourée d'adultes trop terre-à-terre et d'adolescents trop immatures, elle est bien décidée à fournir des preuves irréfutables de l'existence des dragons, ces créatures majestueuses que l'on retrouve dans les mythes et légendes de toutes les civilisations.

Et s'ils se réveillent un jour, l'humanité acceptera-t-elle enfin de reconnaître que son incrédulité l'a trompée ?

Un ensemble de pensées décousues. Inari, ce sont des textes courts sous diverses formes (essais, poésies...) sans rapport apparent, mais avec une thématique commune : le mal-être humain, parfois ponctué de bonheurs éphémères. Et la bêtise de nos codes sociaux trop rigides, peut-être...

Ces textes ont été initialement publiés sur un blog dont je n'ai conservé qu'un fragment, il est donc naturel que le style (ou l'absence de style ?) ait beaucoup évolué. Il est aussi naturel que certains thèmes reviennent de façon assez "proche" : il y avait à l'origine des mois, voire des années d'écart entre deux articles similaires.

Couverture : © Robbie Gallant

« Il est des passés qu'il faut savoir oublier... »

2047. En découvrant comment réactiver des cellules mortes, l'humanité devient capable de soigner les nécroses ; en particulier celles provoquées par la tuberculose, de plus en plus virulente à l'échelle mondiale. Cette avancée scientifique permet de sauver des millions de vies.

2062. La réactivation des cellules mortes offre de nouvelles perspectives : la communauté médicale annonce avoir réussi à réanimer un être humain officiellement décédé.

2075. Un nouvel ordre médical apparaît : les nécrovitalogues, professionnels de la résurrection. Isaac Hanub, brillant étudiant de l'université de Genève, fait partie des premiers diplômés dans le domaine. Peu de temps après, il est contacté par Sélim Enmoutef El-Khéfir, un richissime prince égyptien passionné de généalogie, et prêt à tout donner pour rencontrer ses illustres ancêtres...

« Les mêmes, en pire. »

Des nouvelles écrites il y a bien des années, à la même époque que mon blog "Inari" : il s'agit de contes très classiques, revisités sous une forme bien plus glauque...

À travers eux, je cherche à livrer humour noir, cynisme, critique sociale... mais aussi à me forcer à un exercice de style (ou d'absence de style...) amusant pour moi.

Le contenu est adulte : s'il n'y a pas de scène de sexe explicite, ni de gore, les éléments sociaux et humains sont durs, voire très durs (voir mots-clés), et ne sont pas pour tous les lecteurs. Vous êtes prévenus !