rvrchristian
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Ce texte est une fan fiction sur Fallout, basée principalement sur Fallout 4, même s'il contient quelques références aux jeux précédents.
Il faut avoir joué aux jeux pour pouvoir comprendre le texte, car le style choisi ne laisse que très peu de possibilité de description. (à moins d'avoir, comme dans Clyde Vanilla d'Antoine Daniel, un personnage qui décrit tout ce qu'il voit)
Il faut avoir joué aux jeux pour pouvoir comprendre le texte, car le style choisi ne laisse que très peu de possibilité de description. (à moins d'avoir, comme dans Clyde Vanilla d'Antoine Daniel, un personnage qui décrit tout ce qu'il voit)
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Première nouvelle de l'univers "Primo Humanis"
Science Fiction
Horreur
Science Fiction
Horreur
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Découvertes récemment dans une région reculée de l'Amazonie, les Cendrillonus Faërus Sapiens, les Fées, comme toute la communautée scientifique les surnomme, sont de petits êtres à l'intelligence supérieure à celle de tout autre animal connu. Hautes de 45 cm pour les femelles, et 30 cm pour les mâles, les Fées sont parfaitement adaptées à leur environnement naturel. La plupart des spécimens observés sont insectivores*. Les males ont une envergure d'aile pouvant atteindre 1m, les transformant en de redoutables chasseurs. Il a été observé chez certaines Fées un comportement omnivore*, en captivité. Les femelles sont dotées d'une capacité impressionnante : lorsqu'elles sont agressées, elles lâchent sur leur attaquant un liquide qui les plonge dans un état léthargique. Les premières analyses ont été publiées dans le magasine Science, aux Etats-Unis. Leur mode de reproduction est pour le moment inconnu, et il ne semble pas sexué malgré la présence d'individus mâles et femelles. Les Cendrillonus Faërus Sapiens partageraient 99% de leur patrimoine génétique* avec l'homme, soit plus que le chimpanzé !
insectivore* : qui se nourrit d'insectes
omnivore* : qui se nourrit d'aliment d'origine végétale ou animale
patrimoine génétique* : c'est notre ADN. On en hérite de nos parents, 50% de notre mère, 50% de notre père !
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Deuxième nouvelle de l'univers "Primo Humanis"
Science Fiction
Chasse à l'homme
Première nouvelle : Le Dollhouse
Science Fiction
Chasse à l'homme
Première nouvelle : Le Dollhouse
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1995. Le bâtiment Victor Hugo est un grand bâtiment sans âme d'une cité banale dans une ville de la banlieue parisienne. Malgré les tags qui ornent sa façade et l'état miteux de certains de ses murs, il se dresse fièrement depuis plus de trente ans. Il est totalement identique aux cinq autres les plus proches de lui. Ses murs, d'un triste gris nuance pollution parisienne, protègent tant bien que mal ses habitants des rigueurs du climat de la région en plein hiver. Du haut de ses quatorze étages, il a une vue magnifique sur le terrain vague qui lui fait face, sur lequel une piscine doit être construite depuis plus de quinze ans. L'année dernière, la municipalité avait décidé de détruire le bâtiment Victor Hugo et ses cinq confrères, pour les remplacer par d'autres, plus petits, mais le projet n'a jamais abouti faute de financement. Les équipements de la cité, qui commençaient à dater, ont par contre pour la plupart été rénovés, une rareté.
Ainsi, un jeune technicien Koné, un des premiers êtres humains à porter l'étiquette du geek, finit la configuration de l'ascenseur du bâtiment Victor Hugo. Et voilà ! Plus que quelques vérifications, et tu seras prêt à partir !
Il a un sourire sur le visage. Ses yeux pétillent au fond de ses orbites assombries par le manque de sommeil.
CR 00001 - Initialisation
Initialisation des diagnostics primaires :
Frein 0001 : Etat 100%
Frein 0002 : Etat 100%
Frein 0003 : Etat 100%
Frein d'urgence : Etat 100%
Fonctionnement de l'alimentation principale : 100%
Lancement de l'interface utilisateur
Bienvenue, Administrateur.
Le jeune technicien saisit son clavier, lance un programme, qui vérifie une dernière fois l'intégrité du software de l'ascenseur. Un OK vert s'affiche sur l'écran noir après plusieurs minutes. Il sourit, ferme son ordinateur. Il prend une carte dans sa poche intérieure et la place en hauteur.
Votre ascenseur a été préparé par Alexandre !
Bientôt, le visage souriant du mannequin sera remplacé par une moustache et un oeil de pirate. Je te laisse entre de bonnes mains.
Les portes s'ouvrent sur quatre enfants, entre cinq et sept ans, qui bondissent d'impatience à l'idée de tester le nouvel ascenseur.
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Défi
Réponse au défi "Imagine une espèce!"
J'ai écrit 2 races, peut être j'en rajouterai plus tard.
J'ai aussi voulu rendre un bref hommage aux êtres humains
J'ai écrit 2 races, peut être j'en rajouterai plus tard.
J'ai aussi voulu rendre un bref hommage aux êtres humains
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Défi
Article wikipedia sur le sujet :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Insensibilité_congénitale_à_la_douleur
https://fr.wikipedia.org/wiki/Insensibilité_congénitale_à_la_douleur
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Défi
Première réponse à un défi... 50 mots, c'est très court !
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Défi
Voir les liens pour plus d'explications
https://techguru.fr/2018/01/23/tuer-etre-tue-choix-etait-laisse-aux-conducteurs-voitures-autonomes%e2%80%89/
https://fr.news.yahoo.com/voiture-autonome-bouton-choisir-tuer-092013546.html?guccounter=1
https://techguru.fr/2018/01/23/tuer-etre-tue-choix-etait-laisse-aux-conducteurs-voitures-autonomes%e2%80%89/
https://fr.news.yahoo.com/voiture-autonome-bouton-choisir-tuer-092013546.html?guccounter=1
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Défi
S'il te plait
Ecoute moi
Il est quatre heures du matin.
Je m'en fous de cette discussion qui date du collège,
Je m'en fous de cette fille que tu as cru voir me sourire dans le métro
Je sais, j'ai mal géré cette négociation au boulot
Je sais, j'aurais dû sortir les poubelles.
Non, non, non, je ne veux pas de café.
J'ai déjà été pisser il y a une heure
Oui, je me souviens parfaitement de ce passage du film
Non, tu ne regrettes pas de ne pas être sorti avec cette fille au lycée, quelle idée débile
Mon petit lapin, s'est caché dans le jardin
Arrête avec cette chanson de merde !
Cherche moi coucou coucou
Chut ! Chut ! Chut !
Je suis caché sous un chouuuu
P-U-T-A-I-N
Quoi, tu penses que là c'est le bon moment
Il est quoi... quatre heure trente, c'est cool, et là, maintenant, ce n'est pas le bon moment pour se masturber, je te promets
En plus, en sortant du lit, on va la réveiller
Je sais, moi aussi, je l'ai trouvé belle, la fille du métro. Ouais, on lui ferait bien ça.
Bon, ok, on va taper quelques mots clés dans Pornhub, on sait jamais, on va peut-être trouver une fille qui lui ressemble
S'il te plaît
S'il te plaît
Laisse moi dormir
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La cigarette se consumait au rythme du whisky.
Troisième verre, troisième cigarette.
J'avais l'impression de ne pas avoir assez profité. Pourtant, ils nous avaient prévenus. C'était bientôt la fin. Le prêtre s'approcha de mon fauteuil. Je pouvais sentir dans ses yeux gris la même peur que celle qui m'habitait. Il commença à prêcher. Je ne l’écoutais même pas. Son sermon fini, je passais la main dans mes cheveux, blancs et clairsemés depuis des années déjà. Je fus pris d'une quinte de toux. Je regardais par la fenêtre, à travers les carreaux sales. Le soleil avait bientôt disparu.
Je pris un quatrième verre, une quatrième cigarette.
Je repensais à Nathalie, ma conquête de la veille. Jeune, brune avec ses jolies tâches de rousseur… Si belle, si souriante, si sexuelle. La nuit avait été intense. Elle était partie avant que je ne me réveille, sans dire un mot. Je ne lui en voulais même pas. Je n’aurais jamais pu la conquérir dans d’autres circonstances. Elle ne m’aurait même pas regardé, avec ces rides qui me parcouraient le corps, et mon œil droit qui restait toujours entre ouvert depuis mon premier accident cardio vasculaire.
Je pris un cinquième verre, une cinquième cigarette.
J’avais arrêté de fumer, depuis vingt ans pourtant. Et de boire après que les flics m’aient retiré mon permis il y a trois ans. Rien n’était plus important, maintenant. Je regardais une dernière fois mon téléphone. Toujours pas d’appel de mon fils. J’aurais espéré qu’avant la fin, il me pardonne…
Le soleil avait complétement disparu. J’entendis le prêtre fermer la porte derrière lui. Je l’avais déjà oublié celui-là. Il partait peut être rejoindre sa famille. Il n’aurait pas le temps. On ne voyait plus le soleil maintenant, la météorite géante l’avait totalement masqué.
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Défi
Les armes cognaient tout autour de nous, créant un véritable vacarme métallique. Caius me cria quelque chose. Je l'entendais à peine. L'épée courte de l'ennemi me lacéra la cuisse, créant une longue coupure sanguinolente Un hurlement de douleur m'échappa, qui ne couvrit toutefois pas le vacarme ambiant. J'eut juste le temps de bloquer le coup suivant avec mon bouclier, le choc du métal produisit des étincelles aveuglantes. Le gamin recula de quelques pas, secoué. Je pris mon javelin et le propulsa avec force sur lui. La lame acérée pénétra avec facilité la chair exposée de son épaule, projetant sur le barbare derrière lui un liquide écarlate. Je dégainais mon gladius. L'autre homme, un barbu, se jeta sur moi. Sa hache fendait l'air à une vitesse inquiétante. La lame se ficha dans mon épaule gauche. La morsure froide de l'acier me transit pendant une seconde. Ma veste se teignit d'une couleur cramoisie inquiétante. Un sourire traversa le visage du barbu. La lame du glaive de Caius aussi. Mon ami repoussa le cadavre du guerrier de son pied, mais son arme était fichée dans le crâne du barbare. Il tira la hache et la lança sur un adversaire proche. L'arme se planta avec force dans le torse d'un adversaire, ce qui stoppa net sa course. Le barbare s'écroula. En touchant le sol, la hache fit une plaie béante dans ses intestins. L'homme tenta désespérément de les contenir à l'intérieur de son corps, sans résultat. Je vis un sourire illuminer le regard de Caius devant ce spectacle.
« Tu peux encore te battre ? »
Je n'avais même pas la force de lui répondre. Caius ramassa mon gladius. Il para juste à temps l'épée d'un grand roux musclé qui se jetait sur nous. La lame du barbare, de mauvaise facture, se brisa. Il était à présent sans défense. Caius prit mon glaive à deux mains et l'enfonça de toutes ses forces dans le torse offert de son adversaire. L'épée émergea dans son dos. Elle était rouge vermillon. Caius tenta d'extirper son arme du corps du barbare, sans résultat. Il jura et dégaina un de ses deux javelins. Il le tira sur les trois ennemis qui couraient dans notre direction, en vociférant des insultes dans leur langue de sauvage. Les barbares esquivèrent habilement son tir. Désarmé, Caius n’avais plus d’options. Il ramassa le bouclier en bois de mon premier adversaire et se rua sur le barbare le plus proche avec la force et le courage d’un taureau. Il renversa le barbare pourtant plus grand et plus musclé que lui. Il mit ensuite un coup de bouclier dans le deuxième sauvage. Sa mâchoire prit une position douloureuse, il cracha du sang ainsi que quelques dents. Caius fit une roulade, malgré sa lourde armure, et ramassa au passage l’épée de l’ennemi qu’il avait renversé. Il se mit en position pour se défendre contre les deux barbares. Devant la sauvagerie de ce petit romain, les deux guerriers hésitèrent. Je vis trop tard l’ennemi apparaitre derrière Caius. Un géant avec une masse au diamètre inquiétant émergea de la mêlée.
« Attention ! »
Trop tard. De toutes ses forces, le barbare frappa le crâne de Caius. Un craquement sinistre résonna alors que la masse en acier broyait aisément les os fragiles. Enfin, je ne l’entendis pas à cause du vacarme ambiant, mais je pus le sentir au fond de mon être. J’étais… J’étais seul, à présent. Je sentis un liquide chaud couler le long de ma cuisse. Le géant rigola en comprenant que je m’urinais dessus. Il s’approcha de moi avec une lenteur mesurée, alors que ses trois compères fonçaient vers un nouveau combat. Il me souleva. Mon galea tomba, dévoilant mes cheveux couverts de transpiration. À genoux, je reculais, sans arriver à distancer le barbare. Il fut rapidement à mon niveau. Il m’attrapa à la gorge. Je couinai un gargouillis pitoyable, alors qu’il me soulevait du sol, moi et ma lourde armure, sans effort apparent. Ses yeux luisaient de la lueur de la victoire. Mes jambes pendaient mollement dans le vide. Il me donna un coup de poing qui me coupa complétement la respiration. Puis un autre. Puis un autre. Du vomi parvint à passer à travers sa poigne pourtant puissante et coula lamentablement dans mon cou. Cela eut l’air de beaucoup l’amuser. Il enchaina encore quelques coups de poing. Puis, soudain lassé, me jeta au sol. Mon épaule droite, déjà meurtrie, heurta la terre avec violence. Une douleur me foudroya tout le bras, me faisant perdre instantanément toute sensation. Je m’appuyai sur ma main gauche pour me relever. Mon bras droit pendait lamentablement. Mon index se pliait frénétiquement, alors que les autres doigts restaient inertes malgré mes efforts. Ma dague pendait à mon flanc. Si seulement j’arrivais à la saisir... Le barbare se dressa au-dessus de moi, triomphant. Il commença à agiter sa masse. Je saisis la dague de ma main gauche et la planta dans les côtes du géant. Du sang gicla de la plaie alors que je dégageai mon arme. Le barbare tomba à son tour à genoux. Je lui donnai un deuxième coup. Puis un troisième. Un quatrième. Ma main entrait entièrement dans sa blessure. Un cinquième. Le guerrier ennemi pâlissait alors qu'il se vidait de son liquide vital qui se répandait sur mon plastron. Je poussai un cri de rage. Un sixième. Un septième.
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