***Pas de résumé pour le moment***

Avalant sa salive, elle se dirigea vers le choixpeau. Ses paupières clignèrent dans l'appréhension de ce qui scellerait à jamais sa destinée.
Le cœur battant, elle s'assit, attendant la sentence. Ses yeux croisèrent ceux de Drago, tandis qu'elle se demandait ce qu'elle faisait là. Le regard qu'il lui renvoya ne fit que confirmer ses craintes : elle n'était rien ici qu'une étrangère.

Un silence de mort emplit la salle lorsque la voix s'éleva enfin :
- Serpentard !

Un soir d'Halloween, cinq amis décident d'explorer un vieil orphelinat délabré sur lequel reposent d'effroyables légendes. Lorsqu'ils se retrouvent pris au piège, ils comprennent que leur véritable calvaire vient seulement de commencer...

Voici l'une de mes premières nouvelles, ma toute première si je ne m'abuse.
N'hésitez pas à me faire partager votre avis, positif comme négatif (mais justifié) !

Sur ce, bonne lecture ! :)

L'histoire que je m'apprête à vous raconter est celle de Dolores, une petite fille de neuf ans. Vous ne me croirez sans doute pas, mais les jouets ont une âme, eux aussi.
Je m'appelle Teddy et j'étais moi-même le doudou de Dolores. Elle m'emmenait partout, ne me quittait jamais.
Un jour, après l'école, la fillette et ses parents se rendirent dans un magasin. Comme d'habitude, je l'accompagnais dans son cartable. Elle se prit tout de suite d'affection pour une jolie poupée blonde. Sa belle robe à volants rouge et blanche était composée de rubans et de boutons par dizaine et, ses cheveux étaient reliés en une longue tresse. Cette poupée était charmante, mais elle avait quelque chose d'étrange : son regard paraissait triste, et les deux doigts levés de sa main droite m'intriguaient. Dès le premier coup d'oeil, je sus que Dolores allait l'acheter.
Elle le fit effectivement. Mais, quand ses parents arrivèrent à la caisse de la boutique, le vendeur avertit la fillette que, peu importe l'endroit où elle se trouverait, elle devrait toujours avoir son jouet avec elle, et qu'il ne fallait en aucun cas la laisser seule.

Et la petite fille emmena toujours son nouveau joujou avec elle. Quand elle allait à l'école, elle mettait sa poupée dans son cartable, me laissant à la maison. Quand elle allait se coucher, elle la gardait auprès d'elle, dans ses bras.
Mais, un soir, ce qui devait arriver arriva : elle oublia de la monter à l'étage.
Au milieu de la nuit, un bruit se fit entendre, et une petite voix résonna dans les escaliers : Tu m'as oubliée, Dolores. Je suis là. Je monte la première marche. Je monte la deuxième marche.
Bientôt, nous entendîmes la voix dire : Je monte la dernière marche. Dolores, je suis dans le couloir.
Cachée sous ses couvertures, la pauvre enfant me prit dans ses bras et me serra fort contre son coeur. Elle avait peur, et une larme coula sur sa joue quand la poupée dit : Dolores, je suis derrière ta porte.

Le lendemain matin, les parents de la petite fille la découvrirent décapitée et rendirent immédiatement la poupée diabolique et moi-même au magasin de jouets, effrayés.

Quelques mois plus tard, une enfant entra dans le magasin et acheta une jolie poupée blonde. Cette dernière portait une robe rouge et blanche avec des rubans et des boutons par dizaine, et avait ses longs cheveux reliés en une tresse. Cette poupée était charmante, mais elle avait quelque chose d'étrange : son regard paraissait triste et... elle avait trois doigts levés...

La nuit tombe sur ce monde cruel,
La Mort étend son manteau noir.
Et les yeux levés vers le ciel,
Les pêcheurs perdant tout espoir,
Avant de fermer les paupières,
Font une dernière prière :

"Pitié ô Lucifer,
Quand Elle descendra sur Terre,
Avec ses griffes acérées,
Ne laisse pas la Mort m'emporter.
Et si je dois mourir,
Epargne-moi de souffrir.
Je ne suis pas homme de foi,
Et la peur a raison de moi.
Il me tarde tant que le jour se lève
Pour voir tous ceux que j'ai aimé,
Les embrasser, rien qu'une petite trêve
Pour ne plus rien regretter.
Pitié, ô Lucifer,
Quand Elle descendra sur Terre
Avec ses griffes acérées,
Ne laisse pas la Mort m'emporter.
Sur mes yeux, un voile s'est posé,
Je vais prendre un long repos ;
La Grande Faucheuse va m'emmener
Dans l'autre monde, celui d'en haut.
Je sens mon corps qui agonise,
En ce soir, ma vie est occise.
Et quand je ne serai plus que poussière,
Ne libère pas tes démons
Sur mes amis, ils ne méritent guère
De payer pour mes actions.
Pitié, ô Lucifer,
Quand Elle descendra sur Terre
Avec ses griffes acérées,
Ne laisse pas la Mort m'emporter.
Pitié, ô Lucifer !"