Marie Trouvelle-Éden
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œuvres
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Œuvres
Je n’ai jamais frappé dans un ballon, ni même pédalé au guidon d’un vélo. Depuis l’âge de sept ans, mon quotidien, je le passe dans un fauteuil roulant.
Je suis tombée mille fois durant mon enfance, avant que la médecine découvre le nom de la maladie qui affaiblissait mes jambes un peu plus chaque jour : la myopathie.
J’ai alors entamé un inlassable combat contre la douleur, contre l’incompréhension, souvent même contre le rejet.
S’il m’est arrivé, comme tout être humain, de parfois baisser les bras ; si, bien souvent, j’ai serré les dents pour cacher mes faiblesses ; si, aujourd’hui encore, je « prends sur moi » pour soulager mes auxiliaires de vie, j’ai toujours visé ce même objectif : me relever… et me relever encore !
Vous le découvrirez à travers cet ouvrage, vivre son handicap, c’est dépendre à chaque instant du bon – ou du mauvais – vouloir d’autrui. Ne parlons pas de l’investissement très aléatoire des Administrations ! En ce qui me concerne, ma vraie richesse et mes seuls moteurs, ce sont mes proches, mes amis, mes précieux animaux de compagnie… et ma Foi profonde. Tous ensemble, ils m’ont permis de surmonter mes désillusions. Grâce à leur présence, j’ai réussi à vaincre l’adversité.
N’est-ce pas là un profond message d’Amour et d’espérance ? Même dans un corps contraint à l’immobilité, la Vie vaut la peine d’être vécue.
Je suis tombée mille fois durant mon enfance, avant que la médecine découvre le nom de la maladie qui affaiblissait mes jambes un peu plus chaque jour : la myopathie.
J’ai alors entamé un inlassable combat contre la douleur, contre l’incompréhension, souvent même contre le rejet.
S’il m’est arrivé, comme tout être humain, de parfois baisser les bras ; si, bien souvent, j’ai serré les dents pour cacher mes faiblesses ; si, aujourd’hui encore, je « prends sur moi » pour soulager mes auxiliaires de vie, j’ai toujours visé ce même objectif : me relever… et me relever encore !
Vous le découvrirez à travers cet ouvrage, vivre son handicap, c’est dépendre à chaque instant du bon – ou du mauvais – vouloir d’autrui. Ne parlons pas de l’investissement très aléatoire des Administrations ! En ce qui me concerne, ma vraie richesse et mes seuls moteurs, ce sont mes proches, mes amis, mes précieux animaux de compagnie… et ma Foi profonde. Tous ensemble, ils m’ont permis de surmonter mes désillusions. Grâce à leur présence, j’ai réussi à vaincre l’adversité.
N’est-ce pas là un profond message d’Amour et d’espérance ? Même dans un corps contraint à l’immobilité, la Vie vaut la peine d’être vécue.
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Mon premier ouvrage « Me relever toujours » s’achevait sur une note d’espoir : j’avais un travail, mon permis de conduire, ma voiture et, surtout, mon précieux chien d’assistance Shanon. Il était pourtant écrit que j’aurais d’autres luttes à mener et d’autres drames à supporter.
Les souffrances liées à mes déficiences, je les con-naissais depuis des décennies et je m’étais résignée à les endurer jusqu’à ma fin. Par contre, je n’imaginais plus retomber un jour plus bas que terre. Vous l’aurez deviné, ce fut le cas lors de la perte d’un être cher. J’ai suivi son combat, je l’ai accompagnée jusqu’à sa dernière de-meure. Elle s’appelait « Maman ». Que n’ai-je pas tenté, pourtant, dans le but de lui apporter la guérison !
Pour m’agripper malgré tout à la Vie et pour re-prendre pied, je me suis alors raccrochée à mon affec-tueuse troupe de petits compagnons canins. J’ai puisé ma force dans leur amour et leur fidélité, tout comme je l’ai toujours puisée dans ma Foi.
Au bout du compte, une fois encore, je ne me serai pas battue en vain. J’ai même connu l’amour !
Oui, le bonheur existe. Cet ouvrage le prouve. Dès lors, je vous exhorte, après l’avoir lu, de jeter, vous aussi, toutes vos forces dans vos batailles pour la Vie.
Moins valides ou pas, cette Vie vaut d’être vécue !
Les souffrances liées à mes déficiences, je les con-naissais depuis des décennies et je m’étais résignée à les endurer jusqu’à ma fin. Par contre, je n’imaginais plus retomber un jour plus bas que terre. Vous l’aurez deviné, ce fut le cas lors de la perte d’un être cher. J’ai suivi son combat, je l’ai accompagnée jusqu’à sa dernière de-meure. Elle s’appelait « Maman ». Que n’ai-je pas tenté, pourtant, dans le but de lui apporter la guérison !
Pour m’agripper malgré tout à la Vie et pour re-prendre pied, je me suis alors raccrochée à mon affec-tueuse troupe de petits compagnons canins. J’ai puisé ma force dans leur amour et leur fidélité, tout comme je l’ai toujours puisée dans ma Foi.
Au bout du compte, une fois encore, je ne me serai pas battue en vain. J’ai même connu l’amour !
Oui, le bonheur existe. Cet ouvrage le prouve. Dès lors, je vous exhorte, après l’avoir lu, de jeter, vous aussi, toutes vos forces dans vos batailles pour la Vie.
Moins valides ou pas, cette Vie vaut d’être vécue !
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
Pour laisser une trace de mon passage sur cette terre.