EMΔ EVΔN'S
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Défi
Il était une fois, un camion de super mark. *magasin inventé
Il voyagait dans une forêt aux arbres grands et magestueux. Leur vert profont éblouissait n'importe qui qui y passait.
Et puis soudain, un homme surgit sur la route, criant :
He ! Le camion ! Tu es si terne !
TOGO, en alliance avec SUPER MARK. *marques inventées Découvrez nos nouveaux moyens de transports, Plus beaux, Moins faux ! Pour ceux qui n'ont pas compris, citerne = si-terne.
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Défi
Un petit poème ;) (Je ne sais pas si il fallait faire ça comme ça désolée si ce n'est pas le cas...)
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Défi
Réponse à un défi, mais forcément, j'ai mal respecté la consigne...
Désolée, j'ai fait une nouvelle, pas une micronouvelle... Je me suis rendue compte que c'était pas la même chose trop tard mdr
Désolée, j'ai fait une nouvelle, pas une micronouvelle... Je me suis rendue compte que c'était pas la même chose trop tard mdr
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Défi
Petit poème suite à un défi, me suis bien amusée ! J'espère qu'il vous plaira, encore une fois, je suis une nouille pour ça !
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Tu m'as montré le ciel,
Je t'ai montré tes ailes,
Tu m'as suivie dans l'éternel,
Je t'ai lâché dans un tunnel.
Cette hache ruinant ton mental en acier,
Que je t'avais pourtant aidé à affirmer.
Je l'ai foudroyé de mon épée,
Transperçant ton âme de ce poignard gelé.
On ne dis pas que l'hiver est rude,
On dit que la vie n'est gratitude,
Que le soleil se vide de sa quiétude,
Lorsque nos deux coeurs brûlent de crépitude.
Mes veines loin des tiennes,
Je me suis arraché à ton ADN,
Cette arme callée dans mon abdomen,
Elle m'est devenue quotidienne.
Hello, je suis pas professionelle dans les poèmes, même très nulle, mais j'aimerais bien m'améliorer. Si vous avez des conseils, je suis preneuse !
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Prénom : Luna
Nom : Royal
Âge : 15 ans
Sexe : Fille
Créature ( tout autorisé ) : Déèsse
Ville : Afina
Physique : De taille moyenne, mince, peau claire, cheveux blonds, yeux dorés
Caractère : Calme, perfectionniste.
Passions : Histoire du peuple Afinien
Points faibles : Force
Points forts : Intelligente et au charme redoutable et aux pouvoirs d'un ampleur incroyable.
Métier : Apprentie
Famille (père, mère, fratrie ) : Orpheline, mère précédement reine d'Afina, et père précédement roi d'Afina.
Animal de compagnie : Lumos, petit cerf magique volant adorable
Pouvoir : Lumière du soleil
Arme : Bouclier, armure d'acier, l'assau, arc lumineux, flèches en crin de soleil
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Défi
Voilà, petit truc rapide ! ^^ Je n'ai pas pris beaucoup de temps car je dois travailler, mais bon, ça fera plus ou moins l'affaire !
Quand j'étais petite, je passais ma vie à pleurer, à énerver les autres. J'étais une vraie peste, et maintenant je le sais.
Mon père n'a jamais été injuste envers moi, c'est du point de vue de l'enfant que ce texte est rédigé, la punition est belle et bien mérité mdr...
Lorsque c'est arrivé, je devais avoir cinq, ou six ans. On était dimanche, et comme toujours vers onze heures, mes parents étaient tous les deux réunis dans la cuisine en train de nous faire mijoter un bon petit plat.
Ma sœur et moi étions dans la salle de bain, celle "aux murs blanc et vert" comme on disait. Nos miroirs étaient recouverts d'une grande feuille pour ne pas que l'on puisse s'y regarder, car oui, nous nous étions révélés une grande passion pour se contempler dans une glace. On avait deux éviers, presque collés, mais juste assez pour poser quelques affaires au milieu quand nous nous préparions.
Soudain, sans le faire exprès, ma sœur m'a donné un coup de coude dans le bras, ce qui m'a fait lâcher ma brosse à cheveux. Celle-ci est tombée sur mon pied en m'arrachant un grognement de colère, puis je me suis mise à pleurer.
Les larmes me montaient facilement aux yeux, avant. J'imagine qu'au fond, je n'avais pas vraiment mal, mais ma sœur ne se faisait jamais punir, que moi si ! Pourtant, elle n'était pas parfaite, comme tous les enfants de sept ans. Mais moi encore moins.
Mes parents ont déboulé en vitesse, alors que je la poussais contre la baignoire pour ne pas qu'elle me touche, mon père s'est jeté sur moi et m'a ignorée alors que ma mère, elle, allait soigner ma sœur qui, elle, ne pleurait pas même si son bobo était plus dur que le mien. Je sanglotais bruyamment et gesticulais, en faisant ainsi mine d'avoir très mal.
On m'a isolée dans ma chambre pendant une dizaine de minutes, pendant lesquelles j'entendis des reniflements et des compresses sortir de leur emballage dans un petit bruit de frottement rapide. Lorsque ma sœur fut allongée à son tour dans sa chambre (je le conclus avec les dires de ma mère à son intention.), mon père est arrivé, une espèce de gros livre bizarre à la main. Il m'a criée :
"Alors ça y est ? T'es contente ? T'as fait saigner ta sœur ?!"
"C'est même pas vrai !" ai-je sangloté, la bouche plaquée sur mon oreiller dont le tissu était déjà trempé à cause de mes larmes. "Elle n'a pas saigné ! T'es un menteur !".
Tout en ignorant ma réplique, il a ouvert le livre et tout en montrant les pages, a tonné :
"Tu vas me recopier, ça, ça, ça et ça. Tu ne mangeras ton repas qu'après avoir fini, et sans faute de copie !"
Il est parti en claquant la porte. Sachant que la punition serait pire si je ne le faisais pas, je me suis assise à mon bureau en songeant à l'injustice de ma collation. J'entendais même la voix de ma mère, la plus douce qu'elle le put, murmurer des gentils mots à ma sœur, que j'imaginais confortablement allongée dans son lit. Je trouvais ça injuste.
J'ai contemplé le livre d'un œil mauvais, avant de me mettre à exécuter ma tâche de mon écriture malhabile sur la feuille. La musique joyeuse qui sonnait toujours dans mes oreilles ne s'était pas arrêtée, elle ne faisait au contraire qu'accentuer ma rage. J'ai balancé mon pot à crayons par terre en pleurant aussi fort que possible, bien que je savais que cela ne servait à rien.
Plus tard, j'ai appris que ma soeur n'avait pas du tout été blessée, mais que c'était une autre façon de me punir. Avec cet évènement, j'ai eu une bonne leçon, remarque ! XD
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Défi
Je ne voulais pas tomber, Je voulais seulement me pencher, Que se soit en avant ou en arrière, J'avais besoin de voir cet éclat de lumière. Soudain, je ne voyais plus que ce disque, Ces couleurs orangées et son odeur salée, Je me fichais du risque que j'encourais, Je voulais juste pouvoir mieux observer. C'était si beau, à la fois vrai et faux, Je savais que ce paradis n'était qu'illusion, Que jamais je ne trouverais de tel préaut, Si protecteur et si bon. Pourtant, c'était si serein. J'avais tellement envie de m'asseoir. De contempler ce paysage rarement sain, Mais pouvais-je ne serait-ce le vouloir ? Alors je me levai et me mis dos à lui, Mais comme s'il sentait que je le reniais, Je basculai par manque d'appui, Et la gravité prit le relai. Mais je devais lutter pour vivre, Je méritais de trouver de quoi me raccrocher. Ma main tomba comme par magie sur cette pierre, Et, suspendue, je m'y agrippai. Courageusement je regardai le bas qui s'étirait, C'était de l'eau qui s'y trouvait, Alors dans une ultime prière, Je trouvai la force de la laisser m'entraîner.
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