On dirait que l'affront d'une dure réalité approche.

Comme le silence règne dans la nature avant un terrible orage... Ainsi je ressens ce vide autour de moi; comme dans un rêve. Que dis-je! Un cauchemar.. Ce genre de cauchemar peu effrayant mais troublant et qui peut hanter jusqu'à des decennies la paix de nos journées.
Le jour se lève,les yeux bien ouverts je ne peux trouver l'est. Et pourtant je sens la chaleur du soleil.. étouffant! Mais je ne le vois pas. Alors je ris...oui je ris mais aussi je pleure. Mon âme lui ne réagit pas. Comme si elle s'etait détachée de mon corps. Je ris ou je pleure mais je ne ressens rien. J'ai perdu le cours des choses- ah oui! Je ne comprends plus rien. Je suis comme errante dans un monde, sans monde. J'ai crié alors... En esperant rendre l'âme .-par la bouche.- oui j'ai crié, j'ai entendu l'écho mais je n'ai pas entendu ma voix.
Que m'arrive t-il? Est-ce que je deviens folle? Ou est ce que mon âme s'en est allé avec ce monde..sans fin.

Oui je le veux... Mais comment te l'avouer? Et la société....comment l'affronter? Que tu m'aimes chaque jour, sûre que je le désire. Mais comment te le dire. Te permettrai je un jour de me bercer de mots doux..? Fonce! N'attends pas. Oui je le veux.. Mais je ne le dirai pas.
Que peux tu faire pour qu'enfin je crois que tu m'aimes?....voyons j'y crois déjà... Ne le vois tu pas?? Persiste encore une, deux, trois, jusqu'à quatre fois. Je n'attends que çà.
J'ai aussi peur tu sais.... Je me sens bien quand je rêve de toi. Moi dans tes bras, toi tout près de moi...mais je n'ose pas tu vois...quand j'ouvre les yeux et que tu es là... Je n'ose pas.
"Je veux prendre soin de toi comme personne avant moi"...
Tu me l'as dit. Ces mots m'ont touchés. But je redoute, que quelqu' un...euh je redoute les qu'en dira t-on, si je me permets d'être heureuse. Et si toi même après tu rejoins ces on... Et me blâme d'avoir sourit. Contre nature?
Je souris, je frémis, je souffre, j'ai peur....Ce mélange de sentiment...Effrayant..! Ce n'est pas totalement du bonheur. Ni totalement de la peur.... Ce n'est pas complètement de la souffrance. Juste un peu de volonté de vivre empreint d'une tâche de réticence.

Corona par ces temps
Se répand dans la nuit
Et puis par quelques vents
Nous arrive, sans bruit.

Corona nous assaille
Battons nous battons nous
Remportons la bataille
Combattons jusqu' au bout.

Corona ohh coro!
Mais pourquoi nous choisir?
On a bien trop de maux..
Veux-tu là nous punir??

Corona je sais bien
Qu'on t'a peut-êtr' sonné
Par nos actes pas sain
Par trop de saletés.

Corona! Corona!
Euhh tout bien réfléchi
Tu peux doubler tes pas
Pour aller loin d'ici.

Corona ta couronne
Oui crois moi tombera.
Entend bien la cloch' sonne
Ta fin vient à p'tits pas.