Le concert s'achève sur un morceau des Beatles. Ce groupe mythique a exploré en profondeur les limites de la musique. Sans leur influence, la musique actuelle serait complètement différente. Je présente le morceau : « Pour finir, on va jouer un titre des Beatles. C'est un groupe des années soixante qui a eu son petit succès à l'époque. », tu parles... « Vous savez, les Beatles... », je fais semblant de réfléchir… « Mick Jagger, Jimmy Page, Georges Harrison, Lars Ulrich... » (voir note bas de page 1, 2) J'accorde deux secondes de réflexion pour voir si la vanne que je viens de lancer fait son effet ou pas. Les réactions sont partagées. Beaucoup sourient, ils ont compris, ma blague n'est pas trop pourrie. D'autres me scrutent bizarrement : non, il ne les connaît même pas. Et pour les plus irrécupérables : c'est qui le groupe dont il parle ? « La chanson s'appelle I want you ! » Ce morceau psychédélique a une mélodie répétitive, pénétrante, avec de longs solos tortueux et distordus. Comme d'habitude, je me laisse envahir par les vibrations envoyées par les musiciens du groupe. L'introduction hypnotise le public, je laisse le son s'évanouir. Silence. Je surveille Samantha car c'est ell

C’était une arme destinée à vous blesser. Elle lacérait la peau. Elle provoquait des zébrures boursouflées bleues et violettes qui mettaient trois semaines à disparaître, et, durant ces trois semaines, vous sentiez constamment votre cœur battre tout le long de ces blessures. (Extrait de Moi, boy, récit autobiographique de l’enfance de Roald Dahl) — NON !!!!!! L’abbé a rattrapé la robe quand je lui ai jetée. Il la tient dans ses mains et est furieux. Je m’attends à ce qu’il me force à la remettre. Pas question, je préfère encore rester en sous-vêtements ! Il laisse tomber la robe et se précipite vers moi. Surprise par sa vitesse, je me retrouve suspendue, les bras en l’air, sur la pointe des pieds, arrivant à peine à toucher le sol. D’une seule main, il serre mes poignets et les écrase. Ainsi soulevée, je ne peux me débattre : — Aïe ! Vous me faites mal. Il ne répond rien et me transporte sans ménagement. Il a une telle force qu’il me déplace aussi facilement que si j’étais une poupée de chiffons. Je n’ai pas d’autre choix que de le suivre. Il m’emmène dans un coin de la sacristie avant de me lâcher. Sans rien pour me retenir, je m’écroule contre le mur. Une fois à terre, je masse m

Il y a quelque temps, je reçois un message de La Plume déplumé qui me propose un défi.
Le but est d'écrire un texte de 500 à 1000 mots sur le thème "À mort les clichés" et, pour les autres participants du défi, de deviner si l'auteur est un homme ou une femme.
Le concept me plaît et le coronavirus ayant eu raison de mes activités musicales, je n'avais plus d'excuse pour ne pas répondre au défi.

Mon texte est inspiré par les propos tenus en coulisses lors du passage de la chanteuse Rachel Aspe du groupe Eths à une émission de téléréalité ( à 8'14 sur la vidéo https://www.youtube.com/watch?v=NM83jiecwkE)

Et vu que je suis hexakosioihexekontahexaphile, je n’ai pas résisté à l’envie d’écrire un texte long de six cent soixante-six mots.

Je publie ce texte que j’avais écrit en réponse au défi « Miam » de La Plume Démasquée.
Le thème « Mangez-moi » m’a de suite inspiré cette chanson de Billy Ze Kick. J’ai alors écouté l’album en boucle, voilà ce qui en est sorti.

PS - Contrairement aux apparences, je n’ai rien contre la chanson ;)

En réponse au défi "Abécédaire", lancé par charcolonlon