Camille R.
J'ai toujours écrit.
Et les pages s'entassent, prennent la poussière.
Il n'y a pas d'intérêt aux mots, si personne ne les lit.
Je vous propose donc un petit tour dans ma caboche au fil de mes histoires !
En espérant vous divertir le temps de quelques lignes.
Mes projets en cours :
- Correspondance avec l'extraOrdinaire : un recueil de nouvelles assemblées pour conter l'histoire du Marquis de Montyboulu.
Je suis à l'écoute de vos retours et remarques :)
11
œuvres
9
défis réussis
120
"J'aime" reçus
Œuvres
Carnet n°56 du Marquis Robert Jean Alphonse de Montyboulu;
Découvert le 2 octobre 2015 au Manoir de Montyboulu;
Notes du Marquis en date du 14 septembre 1995 :
"Ce que j’ai tenté de retranscrire dans cette série de carnets ne s’explique généralement pas.
J’ai écumé nombre de chemins à travers ce monde. Toutes les routes que j’ai pu emprunter ces dernières longues années, se sont révélées tortueuses. Et lors de mes errances, j’ai été témoin de choses impossibles.
[...]
Je n’ai pas l’ambition de changer le monde. Mais, si votre curiosité s’éveille au détour de ces lignes, j’aurais eu le privilège de vous raconter un peu ce que l’on peut voir en regardant au-delà du visible."
Découvert le 2 octobre 2015 au Manoir de Montyboulu;
Notes du Marquis en date du 14 septembre 1995 :
"Ce que j’ai tenté de retranscrire dans cette série de carnets ne s’explique généralement pas.
J’ai écumé nombre de chemins à travers ce monde. Toutes les routes que j’ai pu emprunter ces dernières longues années, se sont révélées tortueuses. Et lors de mes errances, j’ai été témoin de choses impossibles.
[...]
Je n’ai pas l’ambition de changer le monde. Mais, si votre curiosité s’éveille au détour de ces lignes, j’aurais eu le privilège de vous raconter un peu ce que l’on peut voir en regardant au-delà du visible."
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Défi
Réponses au défi Micro-nouvelles semaine 149 de Fred Larsen
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Défi
Je suis là depuis longtemps. Plus longtemps que toutes vos vies d’Hommes. Racines profondes, s’entremêlant sous terre, toujours plus loin et plus puissantes : cherchent l’eau. Branches orgueilleuses pointant le ciel, s’étirant pour toucher les nuages, toujours plus haut : dansent dans le vent. Tronc d’écailles, mousse et nœuds, âpre et rude sous vos doigts de chair. Je suis là depuis longtemps. Je sais vos vies, vos joies, vos histoires éphémères. J’ai vu vos désespoirs, vos guerres et la récidive de vos erreurs. J’étais là pour recueillir vos murmures et témoigner de vos amours. Je suis là toujours, gorgée de votre mémoire, de ce qui fut et de ce qui est. Je suis là, fidèle : à vos ancêtres, à vous et à vos enfants. Là toujours, contre les rayons du soleil, comme abris de la pluie, pour vous offrir mes fruits. Je suis là et j’attends. De vous voir, merveilleux petits monstres, nous mener à la fin. De voir, mes meurtriers adorés, le monde brûler.
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5
3
1
Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
C'est une très bonne question, à laquelle je n'ai pas vraiment de réponse. Je demanderais bien à l'écriture plutôt, pourquoi elle s'est décidée un jour, à m'utiliser de la sorte.
