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Tous les défis littérairesDescription d'un endroit

Eki (Mari)  vous lance un défi !

Bonjour à tous et à toutes !

Je me rends compte que j'écris beaucoup de récits et peu de descriptions, en particulier de descriptions d'un endroit. Elles sont souvent considérées comme ennuyeuses, voire même sautées par les lecteurs, pourtant une description peut être tout aussi belle et agréable à lire qu'un récit.

Pour ce défi, il vous faudra écrire la description d'un lieu, réel ou imaginaire, en intérieur ou en extérieur, en vers ou en prose. Pas de genre imposé. Bon courage, et à vos plumes !

Ce défi est actuellement indisponible.

19 auteurs ont déjà relevé avec succès ce défi !

Défi
MAZARIA
C'est pas le paradis ? Mais c'est quand même pas si mal !
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Défi
Ardea Cinerea
"[...]le phare du Kelt continuait à se dresser droit et fier, structure imprenable au milieu de l'adversité, narguant les inefficaces attaques toujours vouées à l'échec de son ennemie. Vainqueur, il contemplait chaque jour avec hauteur le vaste horizon qui s'offrait à lui."
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Défi
Ilona Helianthus
J'avais réussi à atteindre le sommet de cette montagne, et le paysage qui s'offrait à moi me semblait presque irréel.
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Défi
Sacha
Mon premier défit.
Le parc étoile de la capitale Rainbow.
Fiction : Guerrière à l'eau de rose.
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Défi
Sandrine Manine
Une description écrite il y a quelques temps déjà, que je ressors pour le défi ! Ce texte, un peu modifié, trouve sa place dans un récit plus long, en cours d'écriture.
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Défi
Coffre-à-histoires
Il s'en passe, des choses, dans une avenue !
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Défi
EnSorceleurisée
Quand j'écrivais "Mon aventure avec le Sorceleur", fanfiction basée sur l'oeuvre de Sapkowski, j'ai eu grand plaisir à imaginer à quoi pouvaient ressembler les eaux sacrées des Dryades de Brokilone. Voici donc la description de ce lieu que j'ai composé personnellement et que je me réserve le droit de réutiliser dans d'autres de mes écrits (originaux comme fanfictions).

Suivez-moi donc dans cet espace magique !
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Défi
sergent
Défi assez facile pour moi vu que j'aime les descriptions, je me suis amusé à l’exécuter façon 19èm siècle. un peu gothique aussi.
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Défi
Eorwin
1er défi publié

J'entre dans son antre...SA CHAMBRE
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Défi
Héloïse O.

Elsa venait de se réveiller. La nuit avait été courte, en témoignaient les poches sous ses yeux. Plissant les paupières pour essayer d’ajuster le flou qui l’entourait, elle tâtonnait sur sa table de chevet à la recherche de ses lunettes, telle une archéologue à la recherche d’un trésor enfoui. Ses pupilles se resserrèrent face au jour qui se levait à l’horizon.
La lumière estivale venait enrober le paysage d’une couche de miel, s’accrochant sur l'arête des montagnes en arrière-plan. La fenêtre de sa chambre était comme un tableau, toujours changeant, qu’elle admirait et étudiait chaque matin avec le même soin que l'œuvre d’un grand maître. Après tout, quel maître était plus grand que la Nature ?
Au loin, on distinguait à peine la petite chapelle abandonnée, où elle retrouvait Martin pour leurs rendez-vous secrets. C’était leur refuge, le seul endroit où ils se sentaient bien, leur amour invisible au regard des autres, avec l’impression que rien ne pourrait jamais les séparer.
D’un coup d'œil rapide elle sut qu’elle était en retard, l’horloge affichait déjà 7h30. Encore une bonne journée qui se profilait ! Et dire qu’elle s’était promis de ne plus remettre ça. Déposant les cadavres de bière à côté de la poubelle, elle se dirigea vers la douche, détaillant mentalement le plan de sa journée. Répondre au mail de monsieur Duperret pour la réservation de ses billets d’avion, passer à la pharmacie récupérer les médicaments de mamie, faire deux-trois courses pour le repas de ce soir. Elle oubliait quelque chose sur sa liste mais elle ne retrouvait plus quoi. Cela lui reviendrait sûrement plus tard.
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Défi
Mitchole
Plusieurs descriptions pour mon projet actuel de roman en fantasy : "L'ascension de Ludyl".

Illustration : France, Haute-Loire, Le Puy-en-Velay, cloître de la Cathédrale Notre-Dame.
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Défi
Naethano
Un café reculé d'un quartier populaire. La mélopée du jazz esseulé.
Esquisse sans but d'un lieu intemporel.
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1
Défi
Fred Larsen
Réponse au défi de Mari : description (partielle) de mon jardin
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Défi
Aceep

Le vent soufflait une douce brise tiède, caractéristique du printemps qui s'installait lentement sur toute la région. À perte de vue, de hauts sapins et autres conifères se dressaient fièrement aux côtés des différents hêtres et chênes. Peu à peu la nature reprenait ses teintes vertes après un hiver de froid intense. Le ciel bleu parsemé de nuage d'un blanc éclatant surplombait le tableau, lui conférant clarté et beauté. Au centre de la forêt s'élevait une colline recouverte d'herbe où poussait un majestueux cerisier, vieux de plusieurs siècles, sur lequel apparaissait déjà de sublimes fleurs blanches qui donneraient, une fois le temps venu, de délicieux fruits. À plein poumon, on pouvait respirer l'air pur qui semblait libérer le corps de toutes les tensions accumulées durant l'année. Quelques timides rayons de soleil se risquaient parfois de derrière les nuages. Ainsi, ils réchauffaient l'atmosphère donnant à la peau la délicieuse impression de chaleur qui s'immisçait au plus profond de chaque être, apaisant chaque muscle, engourdissant l'esprit. Debout tout là-haut, rien ne semblait pouvoir m'atteindre, protégé pour par une nature fertile, forte et immortelle. Mon coeur battait la chamade, éblouit par tant paix, des heures je pourrait rester là a observé ce monde immobile et innocent, pure de toute cruauté. L'admiration naissait au fond de mon coeur devant un spectacle si merveilleux. La nature possédait ce que j'avais toujours désiré : la stabilité. Cette sensation de liberté qui inondait chacune de mes veines qui battait le rythme au son de ce silence intacte. Des frissons parcouraient tout mon corps, j'aurais voulu rester là éternellement, garder à tout jamais en moi ce bien-être infini.
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1
Défi
FredHouel

Une nuit épaisse et sans lune.
Elle est tombée comme une masse sur la forêt qui ne sait se contraindre au silence.
L’ombre s’est épanchée sous les arbres, pourtant rien ne s’assoupit, bien au contraire. Raclements sourds, sifflements perçants et feulements lourds ; la jungle redouble d’activité, les sens en alerte, dans un brouillard d’eau et de cris. Les frontales découpent un lacis de fougères arborescentes et de figuiers étrangleurs. Un territoire dense et hostile. Ils marchent. À la merci des trous d’eau et des racines rampantes, chaque pas devient difficile.
La forêt les repousse.
Mais ils ignorent ses avertissements.
Avec l’obscurité, les grenouilles se sont mises à chanter, par milliers sans doute. Parfois le faisceau des lampes surprend une tache de couleur éclatante sur une feuille basse. De gros yeux vous observent, éblouis de lumière, le batracien fait silence et se meut à l’aveuglette, poussant sur des pattes aux teintes délicates terminées de bourgeons de peau adhésive. Leur chatoyance est comme le reste, une mise en garde : la plupart sont venimeuses, le simple contact suffit à vous foudroyer. D’autres sécrètent des psychotropes prisés par les indiens trop pauvres pour s’acheter de la cocaïne. Parfois c’est un serpent camouflé que l’on distingue au dernier moment dans un frisson contenu. Il en existe des centaines d’espèces, souvent fatales. Serpent corail, serpent à sonnette, cascabella muda, ou encore le tercio pello capable de percer n’importe quelle botte de cuir ou de caoutchouc. Il sait tout cela, depuis le temps qu’il parcourt la jungle. Le territoire de la coca.
La marche est silencieuse et prudente, ils écartent les larges limbes à l’aide de bâtons, élargissent parfois la saignée à coups de machette. Pourtant la progression est souvent facile. La canopée prive le sol de la pleine lumière, la végétation dans les bas étages est limitée et la circulation s’en trouve facilité pour les marcheurs. Parfois même, ils croient avancer dans une allée soigneusement désherbée par un mystérieux jardinier.
Le vieux mène la danse. Derrière les autres déambulent en file indienne, en silence.
Dans le rayon des lampes torches, la jungle semble fumer. Un brouillard qui s’enroule autour de troncs envahis de mousses pendantes, leur cime se perdant dans l’invisible canopée qui récite sa prière nocturne, un chœur de coassements et de stridulations farouches.
Le vieux s’arrête devant un espace circulaire soigneusement débroussaillé. Il fait un signe. Le gamin le répète pour les autres.
Ils sont sur zone.
Les hommes changent d’éclairage et chaussent leurs lunettes infra rouges. Ils reprennent leur progression en s’éloignant les uns des autres, sans un mot. Et partout autour, l’ombre qui semble toucher les arbres d’une grâce langoureuse.
Rapidement, des lumières et des bruits. Des hommes qu’on entend au loin, un campement à quelques centaines de mètres.
Le vieux se marre dans sa barbe de silence. Il ralentit, soulève les pieds avec précaution. La jungle étouffe ses pas de son concert de nuit. D’un geste souple il bascule le sac à dos sur le sol et pose le fusil contre le tronc. Il tire de la toile de jute deux arceaux de grimpe, du matériel d’élagueur. Mais avant, il sort une pelle dépliable et la pluie se met à tomber.
Un bruit de Boeing au décollage dans la canopée. La pluie tropicale, si violente et soudaine qu’elle s’annonce dans un vacarme infernal. Une chape d’eau tombe en continu sur ses épaules.
Il veut sortir le poncho de pluie, mais il est déjà trempé jusqu’aux os. L’altitude et la nuit se conjuguent, il fait froid.
Le vieux en a vu d’autres.
Autour de lui, Les frondaisons s’agitent, oscillent en rouleau battu par la pluie, elles plient et soupirent comme de soulagement. La forêt boit tout son saoul.
Il décide que c’est une bonne chose.
Les quelques centaines de mètres qui les séparent du campement tracent des chemins de boue visqueuse et glissante, une glaise qui adhère si bien qu’il faudra jouer des pieds et des mains pour conserver l’équilibre, s’accrocher aux branches basses pour ne pas s’affaler au milieu d’une mare apparue en quelques instants.
Il s’écarte de quelques dizaines de pas et commença à creuser
Sous le déluge dru et impitoyable, il patauge dans la latérite d’ocre et de sang. Ses appuis glissent à chaque pelleté qui s’enfonce péniblement dans le sol détrempé, ses vêtements sont tachés de cette terre qui colle et se rebelle, son visage tendu par l’effort est fermé.
Heureusement chaque cavité qu’il va creuser n’est guère profonde.
Il pellète.
Et soudain le vacarme ahurissant, qui enfle dans les profondeurs de la jungle, des sons bruts et gutturaux.
Les hurleurs noirs.
Des singes, qui poussent leurs hululements de leur voix si puissante qu’elles font trembler la forêt. Leurs cris à basse fréquence, audibles à des kilomètres, couvrent l’ensemble du paysage acoustique, ça hurle si fort qu’il est désormais impossible d’entendre autre chose.
Le vieux observe un instant le faisceau infra rouge qui se cogne contre les piliers gigantesques de la forêt. Les cris de fauves redoublent de volume. Même les arbres semblent s’affaisser sous les assauts répétés des hurleurs.
Ce qu’il attendait.
Il crache dans ses mains calleuses et donne un autre coup de pelle. La couche d’humus est fine et détrempée, en dessous c’est la latérite qui affleure rapidement.
Partout autour, la forêt résonne.
Les hurleurs sont maîtres en leur royaume.
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Défi
Marion H.
Un pays que j'aime de tout mon cœur même s'il n'est pas le mien... Le reconnaîtrez-vous ?
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Défi
Wëena d'Inter-lune
Never avait eu du mal à lui trouver un nom. Mais il avait fini par se décider : la maison des déliées. Un lieu emprunt de magie et d’histoires qui pourrait bien vous emmener quelques minutes dans un autre monde...
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Défi
KLMG
Réponse au défi "Description d'un endroit"
Bonne lecture !
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Défi
OD'UN

Le peintre avait préparé la veille, ces bombes de couleur: pinceaux, fusains et pastels
Il avait convié le verseau à venir avec lui, car il avait besoin de ces amphores
L'une contenait de l'eau-de-vie et lin..., pide était l'attention particulière qu'avait le verseau pour ne pas mettre de chlore
Insomniaques, ces deux artistes, et Bérénice en étaient constellées à Neuchâtel
Leurs voix rauques du matin résonnaient dans l'espace de la voix elle, lactée de désir 
Benjamin le peintre, n'avait pas besoin de chevalet et toiles d'araignées. Voir grâce de Monaco, il ne Bourgoin ce plaisir 
Il commença à bomber le torse, puis se lâcha sur un bleu nuit qui mettait en valeur les étoiles
À l'ouest, le soleil était encore dans les bras de Morphée, minait le katariba leminatchai ekbat de seba Malinoo...Doria...Ziyi...Yuna...Christa...Keira...dans un trois-étoiles
Enfin, le joli mois de Mai venait de faire sonner ces clochettes, et comme le soleil n'était pas au minimum syndical, il commença par pologniser quelques nuages incontinents d'un ambre or
Le peintre rajouta des bleus, alors qu'un cumulus venait de mettre un pull polaire avant de partir pour l'Arctique, comme un conquistador
Un avocat clément, jugea que cent milles clémentines sanguines devaient passer par l'abattoir d'Ea La Vilette, pour faire rougir Paris
La framboise se présenta partie civile, mais je crois qu'elle avait plutôt un grain de sourire
Ju...Ju...Juliette, cria Roméo, domicilié à Alpha. Et Omega ne dit un mot, jaloux
Ô, mon être que je n'ai pas oublié. Voici une boîte de Diamantos, remplie de pépites précieuses. Elles sont comprimées, mon bijou
Une bête, en court de sauvegarder Ingrid, des griffes sanguinaires, vola une bombe pour peindre le paysage du Gevaudan. Complètement d'Ingres !
Il est dimanche, et Paris ouvrit un œil. Ça nuit avait été romantique, même érotique  
Sur le pont des Arts, ils avaient mis un cadenas, avec Notre-Dame de pique 
Un dimanche de Septembre, le ciel avait prit comme dessert, une religieuse à la chantilly
L'habit ne fait pas le moine, mais il avait mélangé ces couleurs
Il y avait eu une aube et un crépuscule, et OD'UN avait vu que cela était bon, comme un sourire de Ziyi 
Demain, ça Seurat la graffeuse Edwige, qui fresquera une street-sky de douceurs !
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