Alors qu'Aliénor, la fille du roi de Roklbanthel, se rendait au village avec ses deux amies, les Nirruradu lancèrent une attaque sur les plaines d'Ewatha. Ils dévastèrent toutes les terres et firent des prisonniers qu'ils rapportèrent auprès de leur seigneur, le roi Drake. Il rencontra la jeune fille et lui accorda une certaine hospitalité. Mais avec le temps, Aliénor devint bien plus qu'une prisonnière de qualité.

(Petite histoire en lien avec le monde de Graym Skaria (toujours en construction))

Akathy, nouvelle princesse d'Autllery doit donner un fils à son mari, et ce le plus vite possible. Dans ce royaume, les filles sont tuées, maltraitées et constamment en danger. Que se passerait-t-il si Akathy ne donnait pas de fils ?
La princesse doit lutter pour ne pas faillir et réussir à protéger ceux qu'elle aime, et ceux qui méritent de vivre une meilleure vie.

Le 16 mai 1770, l'archiduchesse d'Autriche Marie-Antoinette, âgée de quatorze ans, arrive à Versailles, où elle épouse le dauphin Louis-Auguste, d'un an son aîné. Le soir-même, elle y rencontre Claire, fille du baron de Rugelle et d'une ancienne dame de compagnie de la Reine Marie-Leszczynska, qui deviendra l'une de ses plus proches amies.

"Une jeune fille au sang royal, qui a pour interdiction de sortir du château doit apprendre à être une bonne reine et à faire des enfants. Elle n'a pas le droit de gouverner ni même de s'interposer aux idées de son époux le roi. "

Cette citation fait partie de la vie d'une jeune fille pas comme les autres, voici Atiya princesse 5e du nom de sa famille, elle fut l'une des premières filles à être princesse et à être aussi la seule fille de sa famille. Tous son constitué que d'hommes, Atiya est la première fille de sa grande famille royale. Mais ne croyais pas que sa vie est remplie de bonheur et de joie, car vous vous mettez bien le doigt dans l'œil, enfin à moitié. À seulement 6 ans, elle perdit sa mère dans un hiver les plus froid de son pays, 2 ans après son père, le roi se marie avec une des servantes du château, il en est amoureux un sentiment très fort lui envahi à chaque fois quand il la vit. Mais sa futur épouse n'aimer pas la princesse Atiya, pour elle ce n'était rien de plus qu'une simple petite gamine effrontée et gâtée à sa naissance.

Le jour du mariage Atiya y assister avec ses grands frères voyant sa futur belle mère marcher auprès du roi avant de laisser le prêtre faire son discours, pendant toute la cérémonie Atiya n'a pas lacher du regard ses frères l'avais vue et décide de mettre leurs soeurs un peut plus loin à côté l'un d'eux pour quelle ne les vis pas s'embrasser, Lors de la fête après le couronnements les invités danser et bois en rigolent mangeant aussi tandis que les fils du roi danser avec leurs soeur ce qui fit sourire le roi mais pas trop sa femme.

Après les noces, la reine va voir le roi et le regarde les bras croiser.

- Majesté, je ne peux supporter la princesse, elle joue avec des garçons, sa place doit être auprès des rangs de femmes, alors c'est pourquoi j'ai décidé d'engager une enseignante digne de ce nom elle lui apprendra à être une bonne reine plus tard, elle n'aura pas le temps de jouer avec des garçons de son âge ainsi que les princes, ils sont grands maintenant, ils doivent apprendre à être des rois à leurs tours - Dit la reine.

Cela n'enchante pas le roi, muni de colère, il se leva et gifla sa femme avant de la regarder de haut.

- Ce ne sont pas vos enfants, si mes fils ne se sentent pas prêts pour être roi, ce sont leurs choix, mais si vous osez les toucher eux ainsi que ma fille. Ou même que vous les maltraitez ne serait ce qu'une seule fois, je vous ferais couper la tête. Est ce bien clair ? Ma Reine ? - Dit Le roi

Sur le visage de la Reine, pouvaient se voir de la peur et de l'étonnement.

Une fois le roi partis, elle eut de la colère dans ses yeux, et redresse sa tête la gardent bien haute. Puis dans un coin de l'œil elle vis les enfants du roi courir dans le jardin et un sourire s'affiche sur son visage à la reine.

Si elle ne pouvais pas toucher aux enfants de l'ancienne Rein, rien ne lui interdisait de les éliminer de la carte pour en refaire avec le roi.