J’avais quitté le ‘Quai aux fleurs’ à Paris dans une sorte d’été indien, les gelées n’avaient pas encore fait leur apparition et l’hiver était loin qui grésillait à la façon d’un insecte perdu parmi les hautes tiges des chaumes. Je n’avais emporté que quelques notes, quelques livres au titre desquels figuraient en bonne place, aussi bien ‘René’ de Chateaubriand, que ‘Les Nuits’ d’Alfred de Musset et ‘Méditations’ de Lamartine, car vous l’aurez compris, c’est le romantisme (ou du moins ce qu’il en restait en notre époque prosaïque) qui occupait le plus clair de mes journées. J’écrivais un genre de synthèse de ces ouvrages avec, pour fil rouge, le thème de l’émotion qui les traversait à la façon d’un leitmotiv. Parallèlement, je mettais une dernière main à un roman que, bientôt, je confierais à mon éditeur. Je n’avais pas encore choisi son titre définitif. J’hésitais entre ‘La Fille nocturne’ et ‘Filature de nuit’. J’espérais que mon séjour en Sicile m’inspirerait, que le calme que j’y trouverais en cette basse saison d’automne serait propice à faire émerger, aussi bien en moi qu’en mes personnages, cette nostalgie d’un temps passé dont le foyer était l’exaltation des sentiments, la noblesse d’une âme tout orientée vers l’amour de la Nature, tout encline à la rêverie et aux méditations.
J’avais choisi, comme lieu de mon séjour, la petite ville de Milazzo bâtie sur un promontoire entre deux baies. Je logeais dans un hôtel situé au centre de la bourgade, sur la ‘Piazza Caio Duilio’. J’aimais bien son air baroque, ses alignements de façades roses qui contrastaient avec le blanc ivoire de ses immeubles classiques, sa fontaine de marbre clair où jouaient, avec la lumière, ses personnages et animaux Renaissants. Je me levais tôt chaque jour, bien résolu à m’installer à ma tâche dès les premières heures, réservant le reste de la journée aux flâneries diverses et autres variations imaginaires. Il me fallait ce genre de tension entre travail assidu et temps librement investi pour donner cours, lors de mes périodes de repos, à des genres de recueillements où se profilaient les esquisses de mes ouvrages futurs.

Par une belle soirée d'été

Une impasse, seule, à la nuit tombée...

En réponse au défi de Natacha TIBI

"Le cœur battant contre mes tempes je courais à en perdre haleine, le bruit de mes pas frappant le pavé résonnait dans toute la rue. La peur exécutait une danse macabre au fond de mon estomac. Le souffle court, j'essayais en vain de semer mon poursuivant"

Le titre parle de lui-même .

En rentrant chez moi d'une soirée complètement saoule, je fais la rencontre d'une merveilleuse personne... :)

Je lâche ma chatte. Elle lui saute au visage.
Option 1, c'est un(e) méchant(e) et c'est bien.
Option 2, c'est une personne qui se balade sans raison au bout de l'impasse qui dessert uniquement ma maison, et je lui conseille de partir car les chats harets sont redoutables par ici.
J'ai toujours peur, mais j'ai combattu au moins une menace, non ?
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C'était bien connu qu'Horus, elles avaient peur. Les peurs étaient domiciliées chez l'Empereur Hopper. Ce villégiatueur qui vibromasseur, Aymé cousines en vélomoteurs. Mignonnes, allons voir ces vaporisateurs, vainqueurs de l'ardeur détrousseur. Vavasseurs, tumeurs de jouir à l'aide de ton turbopropulseur chez l'Empereur Qin, n'est-ce-pas? 
Après avoir Clos-Neuf Châteaubriand, Clos-Vougeots un Peugeot plus que geai Anjou, et l'enclos des Fées par les sorcières d'Eastwick, j'envisageais que chlore Montmartre par Vincennes d'Amour, Romanée-Conti en seraient comme Reginu, troteligottée par un aligoté  apparemment habitué par De Grott, engouffré sous C+ ou moins plaisirs d'un Ours. 
Quimper à la fête des pères où la propriété de Saint Vincent Procure des Lunes Vénus incognito par Massotte de sœur, j'aurai eu déstocks en Haut-Médoc jalouseraient Médicos et avec du Paulilles se transformeraient en lessive musicale Skip The Use. Mairie Marie au bain curry/cannelle, Armstrong par Vénus en Lem et Apollon Vénus par Jupiter d'éther de Mercure. 
Cela fait maintenant Deezer que senteurs essaient de rentrer dans le teaser et l'éprise que le Grand Cru à Montrouge pistache. Bref, AOC plus quoi dire, même pas un Bowie chez Guiness pas? J'ai Pomerol du texte, pas Graves. J'en écrirai un autre, à moins que Lenôtre soit Hopper Delavigne. Chevalières, car aujourd'hui l'Épinay parfois dans l'haïkus. Vous avez crustacés histoires Day Cibonne baleines cabossées? Commandes, commodes passer aux Comtesses, computes les compulsives littéraires Holly, Siz-te-plait!