Cher Scribay,

Nous avons tous, ou presque, eu affaire un jour à THE voisin pénible qui met la musique à fond, répète son piano à 23h, claque sa porte, laisse ses enfants jouer au basket sur son plancher qui (oups) se trouve être notre plafond, parle très fort sur le palier pour raccompagner ses potes à 3h du matin, entonne des reprises douteuses de Gilbert Montagné tous les jeudis sous prétexte de karaoké, passe des heures à causer (fort) en visio sur son balcon, a la brillante idée d'acheter un chien qui aboie tout le temps... Etc etc etc.

Alors nous prend l'envie d'avoir recours à un grand classique du voisinage : le p'tit mot dans l'ascenseur... Insultant, râleur, suppliant, humoristique, accusateur, épuisé : tous les tons sont possibles ! Le défi consiste donc à partager ici votre propre interprétation de cette partition. Qui sait, en cette période de confinement et de télétravail, peut-être que votre prose pourra contribuer à régler quelques conflits... ou ou contraire, à souffler sur les braises pour enflammer tout un quartier ;)

NB : mon voisin du dessous coche à lui tout seul 5 des cases ci-dessus, mais je vous laisse adapter le contenu de vos missives à votre propre spécimen, qu'il soit fictif ou réel.

A vous lire :)