Tous les défis littérairesMIAM-MIAM
Isabelle Bernard vous lance un défi !
Bonjour à tous,
En ces temps de festivités, je vous propose d'écrire un texte de présentation d'un auteur ou d'un livre, en le comparant à une spécialité culinaire, pour nous donner envie d'y goûter.
2 auteurs ont déjà relevé avec succès ce défi !
Défi
Ce défi m'a mené à découvrir un texte qui compare ouvertement un livre à un aliment :
dans le livre d'Ezéchiel, dans la Bible, chapitre 3, 1-3 :
"J'ouvris la bouche, et il me fit manger ce rouleau. Je le mangeai,et il fut dans ma bouche doux comme du miel".
Ce passage est clairement allégorique : personnellement, je ne connais aucun livre qui se mange.
Mais quelle allégorie recouvre t'il ? Que pourrait signifier "manger un livre" ? Certes on parle bien de "dévorer un livre", mais manifestement ici il s'agit d'autre chose. Manger un livre, cela consiste à le faire entrer en soi, c'est à dire à s'en imprégner intimement.
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Défi
C'est un petit M&M's blanc, rond, partageable.
Vers Deezer du matin et quelquefoi avec une saucisse, je me réveille, le bison aidant les combles, c'est le moment le plus heureux d'Emma Journey. Mon premier est une charade, c'est de mettre en route au quai « Rouac », ma cafetière verbale. La Veil, je l'ai rempli dans le réservoir à eau-de-vie et le phitre athée d'été vermoulu (en aspirant du Malraux, je suis resté assez pesto/pastis lorsque l'Automne). Je m'allume pas de Cid,
Garett n'importe comment aven d'avoir écouté la première symphonie de Beethoven. C'est une constante de Planck que jeu m'impose. C'est un Best-Salers quotidien qui est revenu de Nantes, ma primordiale d'Homère, fière (il Faust Dire que Straits de fonctionnement des cafetières d'écrivains et lentes...). Le soulagement qui m'emporte le bout, fée Holly, mes dix amantes. Le Nicodème d'Archimède à une drague étrange, une drug complexe et molle, qui m'apporte une joie qui est infinitésimale par le Kant , Hépar la cessation des Ming. Une Joconde Plutôt ou Plutarque, après deux ou Troie sniffs, je suce un M&M's d'As-térix avec quatre-quart de vers soli-taires (la mine, elle râle), mon général: on volcan?
Geai 106 zans, je m'Apple: Renflouer-Claude le Proust et j'aime mon pré vert, je crois Delacroix, qu'île Vienne de l'origine du Gin, comme vodka. Feydeau temps d'eau-de-vie, regrétable que genêt pas d'ailleurs Noailles, rien à rapprocher.
Il furet à toutes les gares, excellentes six gares. Si ma vis se termine à Thor dans les planches et sous la France, je ne peux pas lézards de Mozart, les incriminer dans les bizzareries de la vis: c'est marteau ce Thor. Mon précieux Renflouer-Claude le Proust, mon précieux androgyne, ai-je une gueule d'atmosphère? Aucune correspondance aux traits télluri-ques de mon faciès (considérer par certaines rombières en tout cas) , mais pas du tout Tautou, non. Toutou manitou chez Kilitou, tu matou partout, surtout mangetout comme une manivelle d'Étrusques, quoi. Canta/Claude, parlons zans, il me fait aussitôt panser aux carambar, et l'image de Frankeinstein en Cloclo en mode schuffle dans une soirée d'an-tiquailles pédérastres, dès que j'en-tend l'Iphone 11 pleurer. Changer de prénom est simple administrativement: rien n'est possible sauf mission impossible. Équation Mississipicienne qui cible ayant comme objectif de décomposer votre vie au maximum chez Maxim's, quand elle lad ministres, étalon/taon d'adminis-trations bien administrées mortes, une Cosette plus simplement. Il suffit de présenter sous un prénom de baptême divin nouveau et auc bout de quelques Beaujolais, tout le mon-de sifflait, il ne vient plus aux mânes que vous ayez bu par la passé, vous prénommer différemment., c'est clair. L'opération dans moka aurait été d'étang plus, plus simple à se marée Homère et correspondrait amertume pour mon second prénom, Stone, une image de fermeté et de masculinité que Jaurès/Aymé communiquer au monde. Mais, je n'ai rien obtenu aux ronds-points, j'y reviendrai, I will be back à la Société Général avant la faillite de mon polygonne convexe. Ouïes, arêtes de pincer les françs-maçons, une arnaque pure et simple -dont il est vrai que je n'étais pas responsable- insconciente lopette de 106 zans!
Les premiers psycholitiques connus (Balzac, Circonflexe) annulent le taux de dopamine sans gain en inhi-bant les crayons 6-HB. La découver-te de Clapton avait ouvert d'un trou
de verre, une voix de nouvelle génération de nõ bluesman's land de psychédéliques.
Dès la fin de l'année, le Clapton des ailes fût commercialisé sous le nom de Cétaubofix. Il se matraqua une efficacité redoutable, non Assurancetourixienne, offrant aux patients, une rate majeune empire pour les rites & les rûts des Beethoven (fringues, vie sociable réduite Auchan du voisinage, au carrefour administratif). La génération précédente gratifait les tendances du tango suicidaire ou l'autostimulation.
Les effets secondaires désirables, les plus souvent aperçus du Cétaubofix étaient les mosaulées, l'augmentation au-delà de la concupiscence de l'ankylosienne Arlésienne.
Je navet jamais sous fer, de zinc rissolé.
Houellebecq des M&M's de sérotonine, la courageuse lectrice?
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