Une cité en ruine, des eraiés gisant dans un flot sanguin abondant, des flammes azurées s’échappant d’eux et absorbées par des êtres teintés d’un noir bleuté, peignaient le tableau s’illustrant à mes yeux. Je me tenais à côtés d’eux, la marche implacable, usant d’une gigantesque lame pour découper membres et têtes eraiéés.
L’instant d’après, Serath était là et me faisait face, le regard vide mais fou. Derrière moi se dressait une majestueuse ...