(Un petit mot !)
Comme vous l'avez peut-être constaté, je suis en train de revoir le plan de ce roman et de le corriger. J'ai donc changé l'ordre de certains chapitres et fait des ajouts dans d'autres. Je sais que parfois, les enjeux n'étaient pas très clairs... désormais, ils sont expliqués dès le début. J'ai également ajouté le point de vue d'Evaïa dès le départ et ajouté des infos sur son arc (notamment dans la première partie, et dans la nouvelle partie sur Færung que je suis en train d'ajouter en ce moment). J'ai également fini de corriger le glitch avec la pauvre Ysatis, qui comme le chat de Schrödinger étant tantôt morte, tantôt vivante...
Si vous vous en sentez le courage, je vous invite à tout reprendre du début... en sachant que des petits chapitres sur Evaïa vont encore venir s'intercaler (3 dans la première partie, notamment). Et si vous êtes encore plus courageux, vous pouvez également me donner quelques retours. Je ne sais pas trop où je vais avec ce texte... mais le brouillard commence à se dissiper un peu. En tout cas, je suis à fond dessus en ce moment et je voudrais le finir vite.
Le synopsis du début avec les nouveaux ajouts corrigés (attention, spoilers pour ceux qui commencent)
Prologue : le sacrifice
Scène de fête païenne à Uppsal (ancienne Suède) : le blot. Evaïa, une jeune chrétienne convertie d’origine africaine, se porte volontaire pour servir pendant plusieurs années chez les « maîtres », les dieux païens qui gouvernent ce monde. On comprend qu’elle le fait pour accomplir une mission au service d’un prêcheur charismatique dont elle est amoureuse, le semi-humain Ælfbeorth, dont le but est de débarrasser les hommes du joug des Maîtres. Mais il la trahit et elle est choisie pour servir en tant qu’esclave sexuelle dans le monde des maîtres.
Partie 1 : le temple du dieu de la guerre
Chp 1 L’assassin
Tyraslyn, capitale de l’empire ultari. Un mystérieux assassin tente de tuer l’émissaire de la Cour de Tara. Il s’agit de Śimrod, un semi-orc libre et fier envoyé par une guilde de révolutionnaires, l’Aleanseelith. En dépit de ses prouesses martiales, il est capturé et interrogé. Pendant la discussion avec le garde, il le force à engager sa parole pour le faire admettre à Æriban, le temple du dieu de la guerre, normalement interdit aux orcs. On apprend alors que sa mission n’était pas de tuer l’émissaire, mais d’infiltrer Æriban.
Chap 2 Śimrod : le destin de mâle reproducteur
Śimrod déchante en réalisant ce qu’est véritablement Æriban : un vivier pour les guerriers les plus féroces de l’empire, qui n’ont d’autres destin que de s’entretuer. Les dames nobles d’Ultar se servent d’eux comme chiens de combats lors de tournois cruels et élisent les plus beaux comme étalon reproducteurs. En tant que semi-orc, Śimrod est méprisé par ses pairs. Il parvient à se faire respecter par la force mais commence à douter du bien-fondé de sa mission.
Chp 3 Śimrod : les chemins de l’initiation
Retour sur la mission de Śimrod, qui a été envoyé par le meneur de sa guilde, Ardaxe, pour tuer la Haute Reine et renverser la société. Pour pouvoir l’approcher, il doit être choisi comme champion suprême. Pour cela, il doit combattre et défaire les 88 gardiens d’Æriban jusqu’au premier, l’As Sidhe. Śimrod essaie de gagner du temps en allant le défier directement, en vain.
Chp 4 Śimrod : les lois d’Æriban
Pour Śimrod, les humiliations continuent. À chaque lune rouge, pendant le rut des mâles, on prélève le fluide qu’ils produisent, qui de par ses propriétés thérapeutiques et analgésique est prisé des dames de Cour. Śimrod doit lui aussi se plier à cette obligation mais, la trouvant humiliante, s’y refuse.
Chp 5 Evaïa : le service
On retrouve l’humaine Evaïa dans une maison de plaisir de Tyraslyn. Elle s’est plus ou moins habituée à son triste sort et s’adapte à la routine bien organisée de la maison de plaisir pour survivre.
Chp 6 Evaïa : le pouvoir du luith
On découvre qu’Evaïa échange en secret le luith qu’on leur donne pour les garder sous contrôle avec un serviteur sluagh, Ymenyn. Taryn, une esclave semi-humaine, la met en garde : Ymenyn est un « bonnet rouge » et ici, personne n’est son amie.
Chp 7 Śimrod : le marché à la chair
Śimrod continue son ascension en défiant les aios d’Æriban. Depuis sa rébellion lors de la traite, aucune femelle de le convoque. Pendant les festivités de Vaal, il est loué à la plèbe au cours d’un humiliant marché public. L’inconnu qui le loue est Ardaxe, le chef de l'Aleanseelith, qui a profité de l’occasion pour le voir. On apprend alors que les deux sont amants.
Chp 8 Śimrod : Nuit de Vaal
Ardaxe emmène Śimrod faire un tour de l’autre côté (on apprend que Śimrod méprise les humains mais ne leur veut pas de mal) et lui révèle sa préoccupation principale : les portails menant aux colonies humaines sont sabotés par une mystérieuse secte qu’on appelle les Enfants de Mannu. Il lui demande d’abandonner l’assassinat de la reine pour enquêter sur eux. Ardaxe révèle à Śimrod qu’il a été appelé pour le barsaman. Śimrod se réjouit, mais Ardaxe est inquiet.
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