Quatre esquives
Donc je suis vite rentrée chez moi pour me changer en mode incognito mais il faut bien l’avouer, je suis aussi partie pour l’esquiver ce malfrat en tissu d’araignée. Je l’aimais moi ! J’en voulais des bébés araignées, pleins même. Et depuis qu’il m’a larguée, je joue l’esquive à la perfection (ou presque).
Il m’a remplacée par une beauté (enfin ça doit être la définition de la beauté moruesque, donc ça se discute un peu quand même !) qui ne sait pas plus que lui éduquer leurs gosses. Ils sont arrivés nus d’araignée quand même. Certes j’étais nue aussi mais on a failli se faire pincer pour Pédopsychiatrie (je prends ce mot pour éviter que les serveurs informatiques s’affolent et m’envoient la brigade des mineurs ou les lanceurs d’alerte mais vous avez bien compris l’idée, non ?). D’ailleurs en parlant de pincer. Un petit araignée, que son père ne peut renier, a voulu me pincer le téton. Heureuse de lui avoir dit « bas la patte »
Annotations
Versions