Chapitre 1

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Je suis là, debout près de la fenêtre, captivée par la vue qui s’étale devant moi. La ville s’illumine dans la nuit, formant une toile étincelante qui attire mon regard. Mon amie, curieuse, remarque mon regard fixe et me demande depuis combien de temps, je supporte cette situation.

« Ça doit faire 3 ou 4 ans, je ne suis plus très sûre », lui répondis-je d’une voix distante. Mes pensées se perdent souvent dans les souvenirs sombres qui hantent mes nuits. Avant qu’elle puisse approfondir la conversation, le son strident de la sonnette résonne, brisant le silence. Mon cœur s’emballe et je saisis instinctivement mon arme, prête à me défendre.

Je m’approche de la porte avec prudence, consciente du battement irrégulier de mon cœur. J’entrouvre doucement la porte pour découvrir un homme grand, aux cheveux blonds, se tenant devant moi. À ses côtés se trouve un autre homme, visiblement proche de mon amie.

Leurs visages affichent une familiarité troublante. Mon amie saisit le bras de l’homme blond dès qu’elle l’aperçoit, révélant ainsi leur lien. Mon regard se pose ensuite sur l’autre homme, scrutant attentivement ses traits. Une tension palpable émane de lui, mais je ne parviens pas encore à déchiffrer ses intentions.

Un soupçon d’agacement se fait entendre dans la voix de l’homme blond alors qu’il lance, avec une pointe d’humour : « Tu pourrais dire à ta pote de ranger son flingue. »

Consciente de la situation tendue, mon amie me demande d’une voix calme, mais insistante : « Cristal, s’il te plaît, range-le. »

Sous le poids des mots de mon amie, j’accepte de céder et replace mon pistolet en sécurité. Néanmoins, mon esprit reste en alerte, méfiant à l’égard de ces nouveaux arrivants. Je reporte mon attention vers la fenêtre, espérant y trouver un instant de quiétude pour apaiser mes pensées tourmentées.

Pourtant, alors que je m’abandonne à la contemplation de la ville, je sens soudain des mains se poser sur mes hanches. Un frisson parcourt mon dos, et mon instinct de survie se réveille aussitôt. Je me recule rapidement, me tournant brusquement pour faire face à l’autre homme. Son regard intense et le silence tendu entre nous en disent long sur l’incertitude de la situation.

Incapable de faire confiance aveuglément, je recule davantage, maintenant une distance sécuritaire. Mon regard se pose sur mon pistolet, posé à proximité, prêt à être saisi à nouveau si nécessaire. Les émotions tourbillonnent en moi, mêlant la peur, la méfiance et une lueur de détermination.

« C'est qui ? » demandais-je.

Je l'ai regardé avec méfiance.

Je suis là, debout près de la fenêtre, captivée par la vue qui s’étale devant moi. La ville s’illumine dans la nuit, formant une toile étincelante qui attire mon regard. Mon amie, curieuse, remarque mon regard fixe et me demande depuis combien de temps, je supporte cette situation.

« Ça doit faire 3 ou 4 ans, je ne suis plus très sûre », lui répondis-je d’une voix distante. Mes pensées se perdent souvent dans les souvenirs sombres qui hantent mes nuits. Avant qu’elle puisse approfondir la conversation, le son strident de la sonnette résonne, brisant le silence. Mon cœur s’emballe et je saisis instinctivement mon arme, prête à me défendre.

Je m’approche de la porte avec prudence, consciente du battement irrégulier de mon cœur. J’entrouvre doucement la porte pour découvrir un homme grand, aux cheveux blonds, se tenant devant moi. À ses côtés se trouve un autre homme, visiblement proche de mon amie.

Leurs visages affichent une familiarité troublante. Mon amie saisit le bras de l’homme blond dès qu’elle l’aperçoit, révélant ainsi leur lien. Mon regard se pose ensuite sur l’autre homme, scrutant attentivement ses traits. Une tension palpable émane de lui, mais je ne parviens pas encore à déchiffrer ses intentions.

Un soupçon d’agacement se fait entendre dans la voix de l’homme blond alors qu’il lance, avec une pointe d’humour : « Tu pourrais dire à ta pote de ranger son flingue. »

Consciente de la situation tendue, mon amie me demande d’une voix calme, mais insistante : « Cristal, s’il te plaît, range-le. »

Sous le poids des mots de mon amie, j’accepte de céder et replace mon pistolet en sécurité. Néanmoins, mon esprit reste en alerte, méfiant à l’égard de ces nouveaux arrivants. Je reporte mon attention vers la fenêtre, espérant y trouver un instant de quiétude pour apaiser mes pensées tourmentées.

Pourtant, alors que je m’abandonne à la contemplation de la ville, je sens soudain des mains se poser sur mes hanches. Un frisson parcourt mon dos, et mon instinct de survie se réveille aussitôt. Je me recule rapidement, me tournant brusquement pour faire face à l’autre homme. Son regard intense et le silence tendu entre nous en disent long sur l’incertitude de la situation.

Incapable de faire confiance aveuglément, je recule davantage, maintenant une distance sécuritaire. Mon regard se pose sur mon pistolet, posé à proximité, prêt à être saisi à nouveau si nécessaire. Les émotions tourbillonnent en moi, mêlant la peur, la méfiance et une lueur de détermination.

« C'est qui ? » demandais-je.

Je l'ai regardé avec méfiance.

« Je te présente Ethan, mon copain et kai son meilleur ami » me répond mon ami.


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