Demain je pars courir.
Je n'ai jamais aimer cela,
mais je vous avoue que c'est fort plaisant une fois avoir bien entamer la course.
C'est quelque chose que vous aimez fire à la fin.
Mais une fois fini, vous détestez ça.
Vous avez des courbatures,
vous êtes remplis de sueur,
vous êtes fatiguer,
mais malgrès tout,
vous vous sentez bien
vous vous sentez libre.
Personellement c'est comme ça que j'aime courir.
Au début je n'aime pas car je ne suis pas motivée.
Une fois commencer j'aime bien car je ne pense plus à rien.
Et a la fin je n'aime pas car j'ai mal.
et vous savez à quoi me fait penser une course ?
Au sens de la vie.
En tant qu'étudiante, je vais vous raconter comment je perçoit ça.
Le matin, je me lève, je ne suis pas motivée a aller en cours.
Honnêtement,
il est 6h du matin,
ma nuit est pas fin,
le bus est pas confortable,
et il va il y avoir plein de bruit au bahu.
Puis après,
je retrouve mes copines et ça va mieux.
Je passe une bonne journée,
je m'amuse,
je rigole,
et puis,
les critiques,
elles font mal.
Ces critiques,
je les associes au courbatures,
elles fonts mal sur plusieurs jours en fontion de comment elles sont grosse.
Alors,
j'ai décidée de partir en pèlerinage a Lourdes !
sur le dèrnière journée,
nous avons éscalader une montage,
je me suis dit :
" Tiens,
un autre type de courses ".
Je me suis donc dis que le vie était une boucle sans fin
Au départ je n'était pas motivé à escalader cette montage,
Je l'ai faite avec mes amis,
puis,
à la fin,
j'avais mal,
comme quand je cours.
Mais je me sentais bien dans cette montage.
D'ailleurs,
le s avez-vous que, dans la langue indienne, le mot montagne est un verbe ?