Jour 357
Sa sébile vide et son chien mourant, le mendiant pleurait. Quotidiennement, les gens passaient devant lui sans le voir. Ne l’entendaient pas lorsqu’il jouait de sa vielle. Ne lui parlaient pas lorsqu’il les implorait. Dans un ultime hurlement, il s’ouvrit les veines. Un papier froissé tomba de sa main et fut piétiné par les passants.
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Micronouvelle inspirée de l'image : https://pixabay.com/fr/photos/sdf-mendiants-sans-domicile-fixe-2653445/
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