Chapitre Trois : L’escalier à double vis sans fin écrit par Florian Pierrel
Chapitre Trois : L’escalier à double vis sans fin écrit par Florian Pierrel
Les candidats se retrouvèrent dans le fameux escalier en double vis.
- Là haut, l’espoir ! Dit Didier
- Tout n’est qu’illusion … s’imposa Jean Claude.
Autour des rampes, il y avait des images, avec des numéro de 1 à 8.
- Je suis là. Ajouta Simon.
- Mais … il manque mon image. Gueula Inaya.
Jean Claude, curieux de nature, vit un levier, il l’activa.
Les escaliers se mirent à monter vers le plafond, sans issues possibles.
Les neufs candidats restants coururent.
- C’est drôle. Riait Océane.
- Il faut sortir d’ici ! Vociféra Eric.
- Jean Claude, toi qui sait tout …
Des écrans bleus s’affichèrent autour de l’escalier qui défilait sans fin.
« Je suis le maître du jeu. Ce n’est pas une énigme, vous devez parcourir plus de treize kilomètres sans vous arrêter !
Quant à Inaya, elle devra faire un choix pour l’équipe d’ici dix kilomètres. Bon jeu à tous. »
Les candidats suffoquèrent.
Océane s’entrava, Jean Claude la soutenu.
- Courage.
- Je ne suis pas sportive.
L’escalier ne s’arrêta pas et la cadence de même s’accéléra.
Jean Claude ajouta des confidences :
- J’ai eu un passé difficile.
Il versa des larmes.
- Inaya ! Relève le levier dit Didier.
- Impossible.
- Merde ! Merde merde !
« Inaya, ton choix après cette course, soit tu restes à courir à l’infini et tu restes en vie, soit tu arrêtes tout mais tu brûleras dans les escaliers ? »
- Je préfère sauver mes amis.
« Le choix est validé. »
La pièce sentit la fumée.
Jean Claude et les sept autres sortirent quant à Inaya, elle creva sous les flammes. Son corps fut carbonisé.
- On est à quelle pièce ?
- ça ressemble à une cuisine. Lança Didier
- Bonne déduction l’historien. Se moqua Léa.
- Je sens mal la prochaine épreuve. Dit Jean Claude.
- Inaya était trop discrète. Ajouta Eric.
- Il est beau ce château n’empêche. Répliqua Jean Claude.
- Tu te prends pour un meneur, mais tu es le prochain à crever. Dit d’un ton sarcastique Léa.
- Pourquoi de la méchanceté quand on se dit que nous sommes tous avec des problèmes psychologiques. Incompris Jean Claude.
- Tu préfères sauver ta vie, ça se voit.
- Arrêtez ! Lança Didier.
Jessica les observa.
- Vous êtes des gamins, sérieux … Deux sont morts, réfléchissez un peu Didier et Jean Claude sont bien plus intelligents qu’ils en n’ont l’air …
Léa plaqua Jean Claude contre le mur et l’étrangla fortement, il eut du mal à respirer.
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