Chaque décadence saillit de l'esprit dansant d'un acrobate élancé. Sur les satellites, des horizons se mettent en marche à la recherche d'un sens de circulation. Les aborigènes expérimentent des nouvelles sensations, devinent des tentations à travers les corps en mouvement. Puis l'explosion. Les vagues s'acharnent et se changent en ombre et en nombre sous l'effet des projecteurs. Tous braqués, ils tournoient et persévèrent. Ici, l'eau se trouble ; le labyrinthe flambloie, brut.

D'apparence en transparence, les machines plongent au plus profond des abysses engorgés. Triste soleil révélant le nouvel eden, eldorado de l'humanité transfigurée. Ils n'en possèdent jamais assez, alors ils créent. Ils crépignent puis, déçus, reviennent sur leurs pas affolés lorsque la conscience ils simulent de retrouver. Des erreurs de leurs mains errent dans les sommets de leur confortable irresponsabilité. Mais les petits pieds d'aborigène s'agitent dans la tourmente de leur torpeur et de vie en vie, de saut en saut, le présent sue du souvenir positif à en faire des futurs.

À peine remis, Rémi décidé détruit des si destructurant des destins dès début du défi. À lui de distancer le désordre maintenant, à lui de lire dans mes délires.