4.
Les parents de Lili s’inquiétèrent.
Ils voulurent se confronter à l’état.
- Notre fille est en prison, nous n’avons aucune nouvelles.
- Votre fille est une criminelle, elle est certainement morte. Dit un membre du gouvernement.
- Comment avez vous pu faire cela !
Les parents de Lili prirent les injections de leurs poches et piquèrent les membres de gouvernements qui ensuite, tombèrent à terre.
- Bande de lâches ! Criait la mère.
- Protégez le président, alerte rouge !
Ils étaient déterminés.
Paul et Léonie, les parents de Lili ne comprirent pas pourquoi les membres du gouvernement tombèrent à terre après l’injection.
- Ils nous cachent des choses Léonie.
- Je suis faible. Fut épuisée Lili.
- Tiens bon !
- ça fait dix ans qu’on nous inflige ces injections.
- Notre fille avait raison, ce n’est pas une société parfaite. Ils raisonnent pour avoir des cerveaux, des genres de drogués.
- Si on avait … su.
Léonie tomba au sol et trembla, son corps s’excita.
Paul cria :
- Vous avez drogués le monde entier, on vous a tous suivis, on va mourir !
Le président sortit avec des gardes du corps.
- Bonjour.
- Monsieur le président, ma femme …
- Il faut lui injecter une dose.
- Jamais.
- Des criminels à nos portes. Tuez-les !
- Dictateur !
Paul frappa avec faiblesses.
- Vous avez volés nos vies, ma fille et puis ma femme !
Un membre du gouvernement menaça Paul avec une arme.
- Ne bougez plus et venez …
- Où m’amenez-vous … ? Ma femme ! D’un cri de détresse.
Léonie s’étouffait et vomissait.
- Laissez-là. Qu’elle crève.
Le président fit une allocution.
- Cher peuple, aujourd’hui notre société est sensible, des criminels apparaissent. Ne les suivez pas. Ils racontent des mensonges.
Notre société marche à la perfection, des cerveaux intelligents, prenez votre injection et rien ne vous arrivera.
Ça fait plus de dix ans et nous y arrivons.
Soyez les héros de demain, notre monde vit sans problèmes.
Merci à vous.
Paul fut traîné dans une salle secrète du gouvernement.
- Putain lâchez-moi.
- Votre fille est morte. C’est à votre tour. Subissez le même sort.
Il frappa le père de Lili violemment.
Paul fut faible.
- Il vous reste que quelques heures à vivre. Sans ça vous …
De son côté Lili ressentit le besoin de prendre les injections. Elle prit deux doses.
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