Cher lecteurs et lectrices, nous sommes dans une société qui se perfectionne, le destin de Lili est plus que tragique, ses cicatrices, cette violence inouïe !

On perfectionne les écoles, l’éducation, on essaye d’améliorer les QI ; on essaye de progresser.

Au regard de cette histoire, on aperçoit que la violence est là malgré tout.

Les vivants se révoltent contre ou pour le bien de tous.

Lili se réveilla.

- Où suis-je ?

- Tu es chez Léon.

- Qui êtes vous ?

- Son fils.

- J’ai besoin de ma dose.

- Tu n’as pas besoin de cette merde, sois forte.

Lili s’étouffa.

- Je me nomme Théo.

- Où suis-je ?

- Mangez ce chocolat, ça passera la douleur.

- Merci.

- Vous êtes pleine de cicatrices.

- C’est la société.

- Nous sommes isolés de tous.

- Je veux …

- Tu ne pourras pas changer la société, ils sont tous manipulés et vraiment bien manipulés.

- Mais …

- Non, tu ne sortiras pas d’ici.

- Et Léon ?

- Laisse-le.

- Et toi ?

- Je fais parti du gouvernement australien.

- On est en Australie ?

- Non !

- On est où alors ?

Théo prépara un café.

- Bois un peu.

Il alluma la télévision.

« Aujourd’hui, tout est calme dans le monde, les présidents président un conseil pour l’affaire Lili.

Ses parents seraient morts d’étouffements.

On accordera une minute de silence exceptionnelle.

Les présidents annonceront un plan spécial pour les injections.

C’est ce qui a sauvé des vies, il y a de cela onze ans.

Lili s’est évadée de la prison est et certainement morte d’après les autorités. »

Théo se leva.

- Reste là.

Il alla chercher une substance rougeâtre et noire.

- ça, c’est du Luratus Mortem.

- C’est ça que parlait Léon.

- Exact.

- Tu travailles encore pour le gouvernement ?

- Non, j’ai démissionné, je ne joue plus leurs jeux. Vivons heureux, vivons cachés hein ?