18.
Du côté de Lili et Victoria, toutes deux prisonnières par les alliés.
Tonia montra la vidéo du père de Victoria.
- Il est mort.
- C’est à cause de vous !
- Non, Lili.
- Libérez-nous. Contesta Lili.
Tonia les gifla.
- C’est la guerre.
Puis dix minutes plus tard, Tonia et ses acolytes laissèrent les prisonnières.
- Victoria, il faut se libérer.
- Arrête de cracher du sang !
- ça fait mal.
- Mon père était un pion, je sais pas ce qui se passe en ce moment.
- L’inhumanité voilà le mot.
- Lili, je m’excuse.
- On se bat pour la même cause désormais …
- Les rebelles, les autorités et les gouvernements.
- ça en fait des ennemis.
- Chut !
Diezel arriva.
- On m’a dit de vous surveiller. Ça va les filles.
- Libère nous …
- Non non non … Je me nomme Diezel.
- Avec un nom pareil, tu mets le feu.
- Vous êtes presque morte.
- Regarde-nous, c’est la faute des rebelles.
Lili cracha du sang.
- Diezel ; les autorités arrivent vers le camps.
- Reçu. Je dois y aller les filles.
- Enfin seules, putain les mecs.
Pendant ce temps, des réunions gouvernementaux eurent lieus un peu partout.
- ça fait déjà vingt jours de guerres.
- On dégomme tout.
- Avez-vous retrouvez Lili ?
- Non.
- Les autorités doivent accentués leur objectif.
Le ministre Israélien se leva.
- Il y a des sentinelles qui menacent aussi la Terre.
- Préparez des Bunkers pour un maximum de gouvernements. Dit un Américain.
Le chef des sentinelles Ariarka cherchait sa petite fille Lili.
- Sentinelles, abattez les.
- Autorités, nous avons repérés un chef sentinelle.
- Tuez-le. Pas de pitiés.
Mais celui-ci réussissait à abattre l’armée Allemande.
- Où est Lili, ma petite fille ?
Le président Américain fit passer un message au monde entier :
- Le monde perds tout de tous les côtés. La société est divisée et est imparfaite.
On demande aux rebelles, aux autorités et aux gouvernements de lâchez les armes comme un cessez-le-feu. Il y a trop de sang qui coulent. Arrêtez le massacre !
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