Une remontée spectaculaire

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Marta n’était déjà plus elle-même mais elle quelqu’un d’autre. Voilà deux ans, qu’elle à retrouver une autonomie.

Elle se battait et se bat chaque jour pour se montrer sous un meilleur jour. Son mariage fût une réussite tout comme le succès de l’entreprise qu’elle arrive de temps en temps à gérer avec Roberto.

On avait décidé de lui arrêter de lui mettre des bâtons dans les roues en la considérant qu’elle baisser vite les bras. On là laisse donc apprendre, essayer, échoué et trouver des solutions pour mieux réussir.

Bien sûr, tout n’est pas parfait. Elle a eu des phases difficiles ou des absences… mais c’est moins régulier.

D’autant qu’elle était bien accompagné pour son accouchement, il y a huit mois. Avec ma mère, on l’aide à s’en occupé accompagné de professionnel.

Quand je l’observe chanter des berceuses ou jouer avec son fils, je ne peux m’empêcher de pleurer.

Elle a nous à tous eu. On l’a pensé condamner…. Et quelque part, je repense à mon parcours, à tous ce que j’ai loupé….

On a réussi à remonter la pente et j’aurais aimer au final, être moi aussi maman.

— Adela ?

— Hum ?

— Tu peux t’occuper un instant de Diego ? Je vais au toilette.

— Bien sûr, je suis là pour ça.

— Merci.

Elle se lève pour partir et je prend le relais en le prenant dans mes bras.

— Tu es bien le fils de tes parents toi ? Et oui, les yeux de ton père et le sourire joueur de ta mère. Un jour, j’aimerais aussi que tu es un peu de tata Adela. De la danse mais tu pourras devenir ce que tu veux. Dans tous les cas, on sera toujours là pour toi.

Il babille et tente de toucher mon visage. Soudainement, je n’ai pas pensé à l’idée que sa mère ne saura plus là dans quelque années. Je prie pour qu’elle est la possibilité d’avoir un deuxième cœur.

Pour le moment ce n’est pas à l’ordre du jour et je le dépose sur le tapis pour jouer avec lui. C’est autour de ma sœur de me regarder pensive. Je crois qu’elle y pense aussi voir tout les jours.

— Il est quel heure ?

— L’heure du biberon.

— C’est bien ce que je pensais. Je vais…

— Non, je suis là pour t’épauler. Je m’en occupe, repose toi.

— Après son repas ?

— Si tu veux. Je sais que tu ne peux pas t’éloigner de lui.

— Il m’aide à pas me perdre. Et puis, j’aurais du mal à le laisser partir un jour à la crèche ou l’école.

— Profite encore de lui mais après tu verras, il en sera grandi comme toi. Et vous vous retrouverait avec plaisir.

— Oui.

Elle se place à ses côtés et reprend le relais. J’ai promis de prendre soin d’elle et j’ai échoué à mon devoir. Même si on a un peu rattrapé le temps. Maintenant, je me promet d’être là pour son fils, quand elle s’en ira.

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