Seins
Nous jouons avec le feu
Et pas qu'un peu,
Le temps passe
Mais personne ne se lasse,
Maintenant, me voilà à genoux,
Encore pour me faire pardonner d'avoir été fou,
Tu es la seule pour supporter mes erreurs
Et pour pardonner, mais à ne pas oublier ma mauvaise humeur,
S'il te plait,
Bébé,
Emmène-moi avec toi,
Que ce ne soit pas la dernière fois.
Tu arbores une peau foncée,
Un peau que le dieu-soleil a fait bronzer,
Dans l'intimité de la chambre nuptiale,
Armée de ton sourire le plus optimal,
Tu me laisses approcher petit à petit,
Ce que je vois déjà me met en appétit;
Il faut chaud...Trop chaud...
Tes vêtements légers me font perdre mes mots,
Tu me fais signe d'avancer via tes doigts,
C'en est fini pour moi...
À peine la lumière allumée
Et la chambre fermée,
Aucun son ne sort de ma bouche;
Il faut que je te touche
Mais seulement une fois que tu seras toute entière,
Nue, à ma merci, et sincère,
Il n'y a plus aucune surprise
Une fois que ta poitrine nue m'hypnotise;
Pourquoi cacher tes petits seins mignons?
Aucun homme ne résiste face à tes mamelons,
Je me fiche qu'ils disent que j'ose dire tout,
Je suis sûr qu'ils en font de même après coup,
Pourquoi cacher les charmes qui t'ont été donnés?
Une telle beauté n'est pas innée;
Tu as peut-être des petits seins
Mais tout ce qui est petit me convient,
Je ne suis pas le premier à chanter le corps d'une femme;
En poire ou bien d'une autre forme,
Généreux ou menus,
Je suis de toute façon un homme ému,
Dis-moi...Non! Montre-moi comment ils sont sensibles
Et j'oserai l'impossible;
Une seule caresse de toi, s'il te plait,
Je pourrai mourir en paix,
Enseigne-moi comment parvenir
À te faire gémir;
Qu'ils soient marrons, foncés ou roses,
Tu n'as pas peur de prendre la pose
Et tu gagnes des points dans mon estime,
Toute raison décline;
Je t'en supplie,
Viens ici,
Une seule caresse de toi
Et il en sera fini pour moi.
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