Au bord de cette eau salée, dans le roulement incessant des cris qui déchirent la côte, se pavanent les culs de basse fosse. Sous l’ombrage des parasols puants, sortis du grenier de la grand-mère – Enfin morte ! – ils sentent la bétise les plagieux !

Ils noieront, dans l’anis qui rend fou, leurs gosses braillards et appuieront sur leur tête pour nourrir les journaux du pays. Ce pays mou !

Allez ! Va danser sur la braise qu’ils ont chauffée pour toi ! Allez ! Bouge ton cul flasque sur la piste de tes frères ignorants !

Tu peux rougir tes peaux sous le soleil qui s’en fout ; ça rendra tes voisins ivres de jalousie ! Allez crève ! On remplacera vos corps et ce que vous n’avez pas d’âme par d’autres chiens !