Les poussières du capital
Les chemins sont longs – parfois - sous les feux anxiogènes...
Les fragrances semées par l'humain androgène
exhalent l'ivresse des poussières du capital...
Les bordures sont vastes – pourtant – clairsemées de lueurs...
Des indiens ou des chiens réclamant le bonheur
rameutant les paumés, recréant l'idéal...
Les rivières sont rouges – souvent – des sourires de gerçures...
Les idoines cousins qui se moquent des morsures
nous renvoient leur scaphandre pour y chercher le mal...
Le soleil est en vie – longtemps – pour chauffer nos envies...
Que se lève la gangrène et se livre l'ennui
nous en ferons du vent - de folles bacchanales !!!
Les chemins sont long – parfois – pour qui veut les étoiles...
nos rêves ou nos épées vont déchirer le voile,
et jeter en silence les poussières du capital...
Annotations
Versions