L’année 51 (venue de l’être…)
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Et l’écho des rires résonnait devant la porte d’un nouveau monde…
Et les masses que l’on enchaînait au pied du béton…
Avant de couper les chaînes…
Et leur tête…
Et le boulet suspicieux que l’on continuait de traîner dans les palais d’injustice.
Et la bannière étoilée plantée dans les crânes comme un sous-entendu…
Pour une nouvelle dépendance…
Et ces âmes perdues que l’on arrachait à leurs origines pour mieux reconstruire…
Avant de cracher sur leur famille !
Et le nouvel espoir d’un continent uni dans la chair et le sang…
Et l’écho des rires résonnait devant les pleurs d’un nouveau visage…
Naissance…
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