Des jedis organisèrent des groupes d'entraîdes à l'échelle de villages, de quartiers; Sur Facebook, des groupes locaux se créérent, les adhérents de certains groupes publiaient des fiches où ils proposait des services correspondants à leurs compétences et leurs besoins; Les adhérents s'organisaient entre services offerts et besoins; il n'y avait que très peu d'échange d'argent dans ces groupes d'entraide; D'autres créaient des groupes de petites annonces ( ventes et services, gardes d'enfants, aides aux devoirs, pour des prix d'amis, et ce à un niveau locale ); dans certaines associations on utilisaient le même principe d'offres et de demandes de services pour s'entraider, cela se faisait sans échanges monétaires; Ceux qui avaient des jardins en faisaient des jardins partagés où étaient invités à travailler la terre ceux qui n'avaient pas de jardins, on partageait la récolte; Les associations de réinsertion se multipliaient à l'initiative des jedis, on y faisait de la réinsertion en partenariat avec les associations artistiques, les petits commerçants, les petits producteurs locaux. Les associations de réinsertion se multipliaient, de même que les associations d'insertion des jeunes; elles formaient tous ces gens en partenariat avec les associations culturelles, les petits commerces, les petits producteurs locaux; les nombreux bénévoles profitaient de l'économie d'entraîde pour palier au manque à gagner financier, de même que les jeunes et moins jeunes en situation d'insertion.