Le temps perdu

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il était dix heures en ce cinq mai lorsque j'entrai dans cette maison de Figuères.

Un bourdonnement sourd accompagna ma visite. Bien que je n'y vis personne il me sembla sentir des frôlements légers et apercevoir des ombres furtives.

La fin, la soif et la fatigue me tenaillant, je sortis une demi-heure plus tard.

Mon téléphone sonna... onze appels en absence. Je vis alors la date ... huit mai quinze heures neuf.

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