15.
Jim créa son groupe. Lilian à la guitare, Pierre au piano, Lucie au saxophone et chant, Féline à la batterie et Jim aux doubles piano.
« 1,2,3,4 ... »
« I do not recognize my justice which veers to the imperative negative, of an explosive rhythm, to dumb us! I don't understand this stuffed ball of the frail innocents who are imprisoned for life. You do not understand my life, these injustices that revolt us today with a great cry, I say release, they have the right to a second chance, I sing, I shout, do you hear me? I don't think we let life go, innocent people who love to be free ! »
Puis des enseignants s’approchèrent et des étudiants rentrèrent.
- C’est un cri du cœur !
- Je me bats contre les injustices c’est tout, les lois ne sont pas justes !
- Sortez de la salle ! Dit la directrice.
- Mais …
Elle voulut voir Lucie en privée.
- C’est quoi ce comportement ?
- On joue, c’est tout. La liberté vous connaissez ?
- Bon appelez ses parents, qu’elle se justifie.
- Non !
À la sortie de l’université, Lucie se fait kidnapper par un homme vêtu tout en blanc et noir.
Les parents de l’étudiante s’inquiétèrent.
- On a enlevé notre fille !
Le kidnappeur enleva sa cagoule.
- Lucie, je suis Van Covin’s, tu sais, j’ai pu me libérer de prison.
- Vous êtes fou ?
- Non, non.
- On va devenir des fugitifs, ça va faire la une des journaux …
- Je ne suis pas un gars dangereux. Tu l’as dit.
- Comment vous vous êtes libéré ?
- Je … connais des gens haut placés politiquement.
- Pourquoi me kidnapper ?
- Pour parler ensemble.
- Où m’amenez-vous ?
- Loin de la France, vers Munich. J’ai une bande de potes sympas là-bas.
- J’ai pas confiance ! Libérez-moi putain.
En effet il y avait une corde raide autour de sa poitrine et ses hanches.
Arrivé là-bas, il l’amena de force dans une maison isolée.
- Qu’allez-vous faire ?
- Mes amis Dimitri Sainty et Palite venez …
Lucie était coincée et se sentit menacée.
Ils parlèrent russes et la jeune étudiante ne comprenait rien.
Dimitri ordonna à Van de la devêtir.
- Non non, lâchez-moi.
- Juste caresser ton petit truc, le faire jouir.
- Sale lâche, sale meurtrier !
- Tu es intelligente ou peut-être trop idiote !
- Faites là sauter ! Ordonna Dimitri avec un sourire pervers.
À tour de rôle, ces hommes firent jouir de toute leurs puissances l’étudiante qui souffrit et ne ressentit aucun plaisir.
Deux heures, plus tard, elle était épuisée et s’évanouit, ferma ses paupières comme si elle allait avoir le sentiment de mourir.
En France et aux frontières, une recherche de l’étudiante fut intensive. Les parents de Lucie pleurèrent et pensaient à un acte criminel connaissant leur fille.
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