Préface
Ce conte est une parodie absurde, méchante, nonsense, tout ce que vous voudrez, vous rallongez la liste à votre guise.
Il n’est ni une thèse politique, ni une vision futuriste, ni un pamphlet d’esstrême-drouate ou d’esstrême-gôôche. Ni même d’esstrême-centre.
Beaumarchais avait dit « je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer » et c’est exactement le but de cette histoire.
Quand chaque jour, en lisant ou en écoutant les informations du monde devenu absurde dans lequel nous vivons, vous avez soit envie de vomir, soit de prendre une corde et d’aller vous brancher au premier arbre, il faut bien réagir.
Et pour moi, ce fut d’écrire cette histoire. Elle est sortie de mes tripes et de mes neurones qui ne savent plus à quelle connexion se vouer. Il n’y a aucun plan littéraire, politique ou moral derrière ce gros délire.
Raconter l’absurde par l’absurde, pousser l’absurde jusqu’à son paroxysme, et en rire. Au moins essayer.
Ça ne changera pas le monde qui va droit à sa perte, mais putain qu’ça fait du bien…
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