Je me laisse déguster…c’est tellement bon. Ta bouche connait parfaitement les endroits les plus sensibles de ma poitrine. Mes tétons recouverts de chocolat léchés par ta langue si coquine…j’adore.

Mais c’est à moi de poursuivre mon petit déjeuner. Alors que ta bouche ne semble pas vouloir se décoller de moi, j’enlève comme je peux ton pantalon, puis ton boxer devenu trop étroit pour contenir ta belle érection.

Je tends ma main droite en arrière, trempe mes doigts dans la casserole. Je me brûle un peu, le chocolat est bien liquide, tout comme mon entre-jambe. Je ramène ma main vers nous, caresse ton ventre et descends sur ton bas ventre.

Je remplis ton nombril de chocolat, et mes doigts se mêlent à tes poils. Te voilà enduit, prisonnier de ce cacao noir qui appelle ma langue. Je lèche ce qui reste sur mes doigts. Je te propose de m’aider. J’enfonce doucement mon index dans ta bouche, tu le suces doucement avant de le croquer un peu pour me faire sourire.

Mais maintenant c’est moi qui veux sucer ton bâton. Je m’agenouille devant toi, ma bouche s’attarde sur ton ventre, je déguste ce que j’y ai déposé il y a quelques secondes.

Je sens ton corps se contracter sous l’effet de mon appétit de toi. Ton ventre se tend, ta queue se soulève, s’agite, semble s’impatienter. Je la prends dans ma main, mes doigts collent légèrement à cause du chocolat, de ta salive. Je tire sur ta peau, doucement, avant de recouvrir ton gland.

Mes yeux admirent ton envie de moi, et mes lèvres ne résistent pas d’avantage. Elles se placent à la base de ton sexe et laissent sortir le bout de ma langue. Je lâche ton sexe pour pouvoir caresser tes cuisses. Ma bouche s’ouvre plus grand, et j’engouffre ta queue.

Moi qui voulais un petit déjeuner délicat, me voilà en pleine gloutonnerie de toi… Je suce ta belle bite qui s’offre à moi…sentant tes veines se gonfler, se dilater, devenir saillantes. Ma langue se promène de haut en bas, passant sur le haut de tes bourses. Tu ne me touches pas, et pourtant je ressens ton plaisir. Je l’entends. Tu soupires, tu gémis quand je passe sur ton gland d’où s’écoule ton liquide pré orgasmique.