Je la fixe. Pas une miette de son extase ne m’a échappé. Pouvoir l’admirer dans cet état, me donne un plaisir fou. Écouter chacun des gémissements qui s’échappent de ses lèvres, observer son visage qui se tord de désir, sentir l’odeur qui se dégage de son intimité mouillée… Rien ne m’échappe, je ne veux rien louper de ce spectacle délectable.

Les caresses qu’elle prodigue sur ses mamelons alors qu’elle me sourit, font accélérer ma respiration. Lorsque ses doigts glissent sur sa fente humide, mon sexe est déjà dur. Un seul gémissement fait tressaillir ma verge gonflée.

L’envie de me toucher est présente, mais j’y résiste. Je veux encore attendre pour mieux en profiter.

Pendant ce temps, ma belle enfonce son index dans sa fente. Ce va-et-vient ponctué de bruit humide m’excite encore plus. Il devient dur pour moi de ne pas saisir mon sexe afin de me caresser.

J’admire la façon dont elle écarte les lèvres de son intimité pour y introduire ses doigts. Celle qui l’instant d’avant semblait si petite, accueille à présent plusieurs de ses phalanges. Elle lâche un petit gémissement alors que son allure s’accélère. L’envie l’habite.

J’entends ses halètements. Son corps se cambre, des frissons la parcourent. La jouissance vient la chercher. Elle est si belle…

Je ne peux résister. Ma main se referme sur ma verge dure. Des perles humides naissent déjà au bout de mon gland, preuve de mon désir. Je n’ai besoin que de quelques mouvements avant que ma semence ne se libère. Le plaisir m’emporte alors qu’elle dégouline sur mes doigts.

Mon regard ne quitte pas ma compagne, ses jambes écartées face à moi et sa magnifique fente luisante de cyprine. Comme personne, elle réussit à me rendre fou. Jamais ma main n’a été recouverte d’autant de sperme que devant elle.

– Le spectacle t’a plu, mon chéri ?

Il continue de me plaire.

Je me redresse. Ce n’est pas fini.