Il y a fort longtemps, nos ancêtres ont envahi le nord de l'Empire romain, la Grèce, la Macédoine et l'Asie Mineure.

  Ils ont été des mercenaires, ainsi ils ont participé à des batailles hors des Gaules.

  Les anciens ont guerroyé contre les légions romaines :

  Nos guerriers connaissant l'anarchie politique de Rome utilisent le moment propice pour tenter un nouveau soulèvement.

  La coalition Carnute et Arvenne sont dirigées par le chef suprême Uercingétorix et la bataille contre Jules César débute.

  L'ennemi romain auparavant, avait conquis la Cisalpine et la Transalpine.

  Le gouvernement de l'Imperator est menacé et Uercingétorix attaque le général prématurément qui se dirige vers l'Italie.

  La cavalerie gauloise est défaite et César poursuit ses ennemis revêches jusqu'à l'oppidum Alésia où le siège a lieu.

  César entreprend d'ériger un large double réseau de fortifications autour de l'établissement pour investir la place, pour repousser une éventuelle armée de secours ou une tentative de sortie des assiégés : ces défenses sont composées d'une série de talus en motte de gazon, de fossés, de palissades et de tours, de pièges destinés à briser les charges de piétons et de cavalerie.

  Les Gaulois disposent d'une supériorité numérique de 80 000 hommes dans l'oppidum même s’ils sont pris au piège ; les Romains sont environ 60 000.

  Les chefs Gaulois Uercingétorix, Commios, Éporédorix, Uiridomaros et Uercassivellaunos font face à Jules César, Marc Antoine, Titus Labienus et Gaius Trebonius les représentant de la République romaine.   Les alliés gaulois fabriquent des passerelles, des échelles et des harpons ; ils sont 240 000 hommes dans l'armée de secours, dont 8 000 cavaliers.

  Au milieu de la nuit, l'armée de secours lance l'assaut et se sert entre autres de flèches et de pierres pour bousculer les défenseurs romains qui utilisent des frondes, des casse-têtes, des épieux repoussant les attaquants.

  L'obscurité entraîne des pertes lourdes des deux côtés.

  Par la suite, alors qu'une pleine lune rouge sombre fait son apparition – considéré comme un mauvais présage par les Gaulois – malgré cela, une troupe d'élite de 60 000 guerriers est constituée et mise sous le commandement de Uercassivellaunos, un cousin de Uercingétorix ; il attaque le camp supérieur depuis la montagne nord.

  La cavalerie gauloise s'approche des fortifications de la plaine et le reste des troupes se déploie en avant du camp gaulois. Uercingétorix sort de la ville avec tout son matériel d'assaut.

  Les alliés arrivant à temps afin de prêter main-forte aux guerriers, les Romains, attaqués de toutes parts, commencent à céder, alors que les Gaulois réussissent à combler les obstacles.

  César envoie Labienus en renfort pour le camp supérieur, mais ils sont massacrés et Uercassivellaunos capture et tue Labienus.

  Le général devait rejoindre Labienus avec quatre cohortes et une partie de la cavalerie, mais les hommes gaulois viennent à bout des fortifications de la plaine, ils chassent les défenseurs des tours sous une grêle de traits, comblent les fossés et réussissent à faire une brèche dans la palissade et le parapet.   D'un côté, Uercingétorix pourchassait les Romains en fuite avec leur centurion, alors que César ordonnait le repli et de l'autre, son cousin, tuait Réginus et Rébilus deux chefs de légions.

  Finalement, César et les six légions à moitié exterminés prirent la poudre d'escampette.

  L'Imperator César capitula et Uercingétorix gagna la guerre.

  Le général Caius Julius Caesar et ses hommes encore en vie quittèrent définitivement la Gaule.   Les traitres gaulois ont été mis à mort.

  Cette guerre avait fait comprendre que les chefs des cités, peu importe la Gaule, devaient s'unir contre les autres pays malgré le commerce.

  Les druides et les chefs proclamèrent l' « Empire des Gaules » : les Gaule Celtique, Armoricaine, Belge, Narbonnaise et Aquitaine.

  Mais ce qui a été terrible pour le peuple gaulois fut la découverte de la disparition d'un objet sacré, volé par le chef romain et caché quelque part sur le territoire.

  Les druides ont mené des recherches sans relâche au cours des siècles pour retrouver la relique, mais sans succès...