- Mais comment est-ce possible ?
- C'est mon jumeaux mais il était mort avec toute ma famille.
L'homme se réveilla. Elle alla vers lui. Il prit peur.
- Maître, non, ne me punissait pas par pitié.
- Je lui ressemble, pas vrai ?
Il n'osait pas regarder.
- Regarde moi.
Il la regarda.
- Mai... maîtresse ?
- Tu connais mon frère.
Il hocha la tête.
- Dit moi, il est en vie ?
- Oui.
- Comment ça se fait ?
- Il...il a survécu à l'explosion...il est allé sur Glid... il a été soigné...et.. a appris que vous aviez pris la place...sa place qui lui revenait....il a combiné sa VENGEANCE pendant quatorze années...il veut votre mort et... le trône...
- Où se trouve t'il ?
- À la planète Glid. Il est Trozot.
- Bon, je sais où je dois aller.
- Non. Non. Non. Il vous tuera. Il n'attend que ça.
- Je confirme, n'y allez pas, c'est trop dangereux.
- Il n'en ai pas question ! C'est la seule famille qui me reste ! Je ne vais pas le laisser tomber !

Elle alla vers le portail et enregistra la localisation. Elle se tourna vers son mari :
- Tiens le portail ouvert pour que je puisse revenir. Personne d'autre que moi et mon frère ne doit revenir. Ne laissez passer passer personne d'autre.
Il l'embrassa et la regarda dans les yeux.
- Faites bien attention à vous.
Elle le prit dans ses bras pour se donner courage. Elle détacha son étreinte et passa par le portail.

Changement total de paysage. Tout en noir et vert. Adrienne mit une capuche et se dirigea vers le palais.

Une fois arrivé dans ce lieu hostile, je me dirigeais vers la salle su trône où je trouvais mon frère.
- Qui êtes vous ?
Je toussota.
- Je n'ai pas à répondre à cette question.
Il réalisa.
- Toi ?
Je retira ma capuche.
- Moi.
- Que viens tu faire ici, ma sœur ?
- Éclaircir le malentendu.
- QUEL MALENTENDU ?! TU AS PRIS MA PLACE !!!
Il lui montra tous ce qu'il avait vécu au cours de ces quatorze ans.
- Je n'ai pas eut le choix.
Il se dirigea vers elle, l'attrapa par le cou et la dirigea vers le balcon.
- À toi de voir ce que moi j'ai vécu.
Il vit toute sa souffrance et la reposa au sol.
- Tu n'as pas été heureuse une seule fois en quatorze ?
- Sauf aujourd'hui. Je n'ai plus sourrit une fois où même rigoler ou m'amuser.
- Je t'ai mal jugé.
Elle se dirigea vers lui, il était sur sa défensive. Elle lui fit un câlin qu'il lui rendit.
- Rentrons à la maison.
Il hocha la tête.