Le Vent (version Ninib)
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Il passe et repasse, tourbillonne,
Va de la brise à la tempête,
Il n’en fait toujours qu’à sa tête,
Et, il prend tout sans qu’on lui donne.
Il peut nous amener la pluie,
Ou le sable du Sahara,
Et il s’engouffre dans les bois,
Mais toujours à la fin il fuit.
Il nous emmène les nuages,
Ramène les feuilles d’automne,
Il écrase les vagues sur la plage,
Et sa grande douceur étonne.
Il nous transporte tous les sons,
Et les odeurs de nos moissons.
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