Je vous regarde tous des déviants.

Le bon sens, vous l'avez mitraillé.

Je dévisage vos faux flamboyants.

Vous êtes tous des meurtriers.

Des troupeaux de moutons fourbes.

Votre mépris flagelle toute une seule personne.

Bourreau et victime minable.

Des rois égocentriques qui ont peur de perdre,

Leur docile consolation,

Et leur ascendant sur leur récréation.

La cohésion des phobies de solitude,

Et la névrose d'être regardé comme un malfaisant.

Des faibles martyrs remplis de magouille.

Nous sommes les pantins de vos chemins de combinant.

De ma famille au peuple, ils sont tous dégoûtants.

Mon cerveau hyper-vigilant.

L'empathe observe l'inaperçu.

Ma phobie sociale vous vomit dessus.

Mon blizzard si épais d'insécurité.

Ma colère aux conformes.

Mon dépit aux animosités.

Ma haine des hypocrites.

Ma rage des canidés.

Ma tristesse des sentinelles.

Mon mépris à tout brisé.

Être déçu de la médisance.

Mon désarroi à être affublé de maléfique.

Je ne suis pas une secte.

Je ne demande pas à être ressemblé.

Je veux simplement être accepté et adhérer.

Aucune soumission ne me contrôle.

Je ne demande pas à être ressemblé.

Je ne demande pas à être ressemblé.

Je ne demande pas à être ressemblé. Je ne suis pas une secte.

Je ne demande pas à être ressemblé. essemblé.

Je veux simplement être accepté et adhérer.

Aucune soumission ne me contrôle

Je ne demande pas à être ressemblé.

Je veux simplement être accepté et adhérer.

Aucune soumission ne me contrôle.

Je ne demande pas à être ressemblé.

Je ne demande pas à être ressemblé.

Je ne demande pas à être ressemblé.

Aucune soumission ne me contrôle.