J'avais une attirance.

Je m'étais charmée de ta présence.

Je n'avais pas contrôlé mon désir,

De te chérir.

Je voulais savoir,

Si tu m'appréciais.

Mais j'étais inquiète.

Les mois coulaient avec des mouchoirs.

De plus en plus offensée.

Mon corps se déchirait.

À chaque échec de mes procédés,

Et quand tu me poignardais.

Tu étais entouré de romance.

Elles étaient toutes tes fiancées.

J'étais minable et je les voyais d'une telle brillance.

La répétition de ces voyages lointains enchantés.

Tu n'avais pas cru en notre fil rouge.

Je ne m'étais pas senti aimé et élu.

Je n'étais pas ton privilège.

Mon seul droit était d'être exclu.

Le groupe avait tes louanges.

Puis tu m'avais volontairement ignorée.

Mais quelle était la réflexion de ce geste ?

Cela m'avait juste rejeté et humilié.

Je fuyais avec la souffrance de mon néant.

Pour toujours, j'attendrai ton approbation.

Un jour, pourrais- tu te rapprocher en m'accueillant ?

Je rêvais de dialoguer éternellement et en conciliation.

Mon côté filou t'observait feutré.

Le monde était contre ma personnalité.

Le pire, c'est que ma tristesse t'attendait encore.

Alors que je ne voyais plus le bonheur.