Mort-vivant
Les zombies existent.
Vous êtes des cadavres.
Vous êtes des cannibales.
Vous êtes une secte.
Je suis toujours vu comme une caméra.
Mais je comprends.
La beauté de votre châtiment.
C'est le dernier acte de l'opéra.
Mes écrits et ceux des autres,
Sont les témoins de la destruction humaine.
La pluie de trafiquants d'esprit est diluvienne.
La haine a trouvé ses apôtres.
Les goûts de la mort.
Le noir des prédateur.
Les extrêmes sur leur support
L’obésité morbide libérateur
Et les podiums de maigreur incolore.
Les vêtements quotidiens,
de fantômes et de soumission.
Des visages codés maintien,
L’unification et le fouet de la punition.
Des villages mimes de magouilles.
La royauté de l'industrielle.
Des attaques vicieuses.
Du savoir mit sous silence.
Vous espérez d'y croire.
Mais sur le mauvais territoire.
Sans vie c'est la non-existence.
La substance de vie est la seule providence.
Devant nos yeux elle accroît.
Cacher par l’intransigeance,
De vos méninges adroit.
Les plantes sont notre unique luminance.
Croire c'est déjà artificiel
Nous n'avons pas besoin
D'être convaincu par la lumière.
Elle pousse sans possession.
Au contraire le factice,
A besoin d'espérance.
Pour nourrir une peur aplati,
C'est la domination de l’acquis.
Humain fière de leur cerveau.
Se différencier par une logique de haut niveau.
Et les émotions du cortex.
De nos jours plus rien, juste un bordel.
Des animaux dangereux
Contrôler par l'encéphale reptilien.
Une survie par l'attaque et l'enjeu.
La corrosion des citoyens.
Je peux juste vous dire,
Que vous êtes taré,
Car je n'est pas votre esprit.
Je ne comprends pas la méchanceté.
Même si je vois tout vaut vice,
Et le mauvais chemin que vous emprunter.
Le bien ne fais aucun mal
Nous sommes heureux et léger
Mais vous préfère rester coller
Dans votre canal de souffrance anormal.
La peur du pouvoir de briller.
Manger la mort,
Un corps de pourriture sonore.
La gentillesse et l'amour s'effritent,
Pour mieux disparaître.
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