Chapitre 20. Iona, problèmes de santé.
### Frank ###
Le lendemain je conduisis Iona à l’hôpital. Elle passa à l’imaginerie et avec le radiologue, j’examinai les divers clichés. Il nous fallut refaire un cliché pour constater une zone d’ombre anormale.
– Je suggère une opération exploratoire dit le spécialiste.
– Je suis entièrement de ton avis ! dis-je, Cela expliquerait qu’elle n’ait pas de grossesse après ce qu’elle a subi.
Iona nous attendait dans une chambre.
– Iona, les radios montrent une zone suspecte. Je vais pratiquer une petite opération exploratoire. Puis on te réveillera pour te donner le diagnostic. C’est une façon de voir, car ici nous ne disposons pas d’appareillage plus évolué.
– D’accord Frank, j’ai confiance en ton expérience !
Je fis donc appel à Happy pour réserver une salle d’op et Rosa me servit d’assistante novice vu le manque de personnel disponible.
À l’ouverture, le radiologue, Happy et moi nous vîmes immédiatement qu’il y avait des tumeurs sur les deux ovaires. L’anesthésiste interrompit la narcose. À son réveil, je dus annoncer la mauvaise nouvelle.
– Iona, je suis désolé de t’annoncer la nouvelle aussi brutalement mais tu as un cancer ! Les deux ovaires sont touchés à un stade précoce, mais pour plus de sécurité je propose d’enlever les ovaires et l’utérus, en gardant le vagin pour que tu puisses garder une activité sexuelle.
– Je vais mourir ?
– Ce qui est rassurant, c’est que nous sommes à un stade précoce, tes chances de survie sont très bonnes. On a besoin de ton autorisation pour opérer.
– Je ne voulais pas d’enfant, donc autant opérer !
L’opération fut pratiquée dans la foulée, ce fut long et compliqué mais en fin de journée Iona prit conscience dans la salle de réveil.
– Bonsoir Iona, tout s’est bien passé, il n’y a pas de métastases. Tu resteras deux semaines ici à l’hôpital. Je suivrai ta guérison, Rose et Maggy te tiendront compagnie à tour de rôle.
– Merci Frank. Je sais que c’est très tôt pour en décider mais je veux rester avec toi et les filles.
– On en reparlera, pas de décisions hâtives.
*Deux semaines plus tard*
Je pus enfin sortir de l’hôpital, Rosa m’accompagna pour rentrer chez Frank. On n’avait rien convenu, mais je voulais me ressourcer en compagnie des deux filles et Frank.
Restait la question principale, allais-je me soumettre à Frank ? Accepterais-je d’être la troisième esclave ? Extérieurement j’étais toujours attirante mais quel avantage j’aurais à chercher un homme pour baiser en dehors de ce cocon ; le sexe ne serait pas différent…
Au bout d’une semaine de repos à la maison, un soir je grimpai dans le lit de Frank avant que Rose et Maggy ne le rejoignent.
– Frank, j’ai réfléchi, je voudrais que tu m’acceptes, je voudrais rester à ton service. Pendant mon hospitalisation je me suis renseignée : l’hôpital ouvre un poste d’enseignante pour les jeunes patients en âge de scolarité. Ils pourront ainsi continuer leur cursus en étant soignés. Mon salaire contribuera aux revenus de la famille. Si tu m’acceptes, tu disposeras de mon corps, pour le restant de ma vie. Oui, j’ai toujours envie de baiser, mais avec toi, je n’aurais pas de déconvenue. Tu respectes tes femmes, et je pourrai toujours apprendre à te donner du plaisir de toutes les manières y compris des nouveautés.
– Iona, en as-tu parlé avec les filles ?
– Oui, elles sont d’accord !
– Bien, quand commences-tu à l’hôpital ?
– Demain.
– Alors, ce soir, on dormira tous ensemble.
– Oui Maître.
Quelques minutes plus tard, Maggy et Rose nous rejoignirent, je fus embrassée et dévêtue avec beaucoup de caresses. Rose, très provocante dégagea le sexe de Frank en pleine érection. Je fus invitée à sucer le gland et lécher les bourses puis Frank m’ordonna de m’asseoir sur sa bouche. Rose et Maggy se placèrent derrière moi. Je vis que Rose s’empala sur le pic de Frank pendant que Maggy me caressa les seins et puis mit des pinces sur mes seins. C’était la première fois, la combinaison des caresses linguales et mes tétons pincés me donnèrent des frissons inconnus.
Je sus que Frank était très expérimenté, car Rosa m’avait confié qu’elle jouissait souvent lorsque Frank la caressait sous la douche. Depuis, la petite Rosa caressait le Maître sous la douche et elle adorait provoquer son amant. Maintenant ce fut mon tour de bénéficier de ses bienfaits. Je sentis encore quelques tiraillements dans mon ventre, sans doute des réactions de l’opération encore trop récente.
Frank sentit que quelque chose n’allait pas.
– Tu as mal ?
– Non Maître, ce sont des crampes dans mon ventre, sans doute des tissus encore sensibles. Mais si je peux te demander de continuer, je sens que je suis près du but.
– Non, non, tu ne vas pas encore jouir maintenant, je veux sentir tes soubresauts autour de mon sexe.
Rose souleva mon corps pour me préparer à la pénétration par le vagin. Frank couché sur le dos me présenta son sexe dur à l’entrée de mon intimité.
– Iona, si tu sens des douleurs, n’hésite pas à le signaler. Je ne veux pas te faire souffrir.
– D’accord Frank, mais ça fait tellement longtemps que je veux une copulation de ta part ! Alors laisse-moi juger, je suis ta servante et je te désire.
Rose, me fit des caresses en introduisant ses doigts près de mon clitoris. Tout mon corps aspirait à cette union et même si Frank craignit me faire mal, il accéléra ses va-et-vient et très rapidement il se défoula pleinement.
Son sexe me pénétra profondément et je ne pus retenir mes cris de jouissance. Je croisai mes jambes dans son dos car je ne voulus pas qu’il se retire ! Je mis mes bras autour de son cou et pris l’initiative d’insérer ma langue dans sa bouche. C’était divin ! Ma respiration se coupa et je dus abandonner sa bouche pour crier mon plaisir.
Frank continua de me pilonner et je sentis son éjaculation durant mon orgasme.
– Oh Frank ! C’est bon ! Quelle récompense, Je sais maintenant le plaisir d’être ton esclave. Même si je n’ai pas le droit, s’il te plaît continue, laisse-moi profiter de mon orgasme.
– Iona, tu as le droit de jouir, oui ! Tu es maintenant mon esclave mais tu as le droit de jouir ! Profite, continue à serrer ma verge avec tes muscles. Oui, j’ai une deuxième salve.
Frank, fut pris dans une seconde vague, j’eus l’impression que son sperme m’inonda entièrement. L’effet fut amplifié par Rose qui détacha les pinces de mes tétons, pendant quelques secondes je perdis conscience sous la douleur de mes tétons. Pour couronner le tout, Frank en se retirant suça mes seins l’un après l’autre. Je n’osai demander de s’arrêter tellement c’était puissant ! Mon corps vibra encore de longues minutes.
Rose comprit et prit le sexe de Frank pour le masturber, ce qui le détourna de mes seins. Cela me permit de joindre mes mains à celles de Rose pour gober les dernières gouttes de sperme qui giclèrent.
Maggy glissa ses mains sur mon ventre encore tendu et elle me fit un massage nuru en versant abondamment de l’huile sur mon corps. Le glissement de ses seins sur mon corps me procura un bien-être merveilleux et je m’assoupis le corps détendu.
### Rose ###
J’étais vraiment contente, Iona eut de longues et intenses vibrations sous l’orgasme de Frank et le sien combiné. Ce premier accouplement s’était bien passé ! Je vis que Frank avait eu beaucoup de jouissance, mais son sexe repris vigueur en admirant le massage de Maggy. Elle comprit que le spectacle excitait davantage notre Maître et je pris un peu d’huile pour masser le sexe tendu de Frank dans le but de drainer l’afflux de sang.
Frank en remerciement m’embrassa et caressa mes seins, je sentis que lui aussi glissa dans un sommeil réparateur.
Maggy laissa sombrer Iona dans son sommeil et se rapprocha de moi, elle glissa son corps contre le mien et elle me fit profiter de son massage nuru encore pendant une bonne heure. Assez étrangement je sentis mes seins plus sensibles, je sus que j’étais enceinte, Frank avait fait une prise de sang, le résultat sera connu bientôt. Apaisée, je m’endormis également.
***
Le lendemain Frank réveilla toute la maisonnée, Iona avait rendez-vous à l’hôpital pour rencontrer la DRH en vue d’un entretien d’embauche comme enseignante pour les jeunes patientes hospitalisées pour longue durée.
### Iona ###
Malgré les paroles rassurantes de Frank, j’avais le trac. Au premier contact, la DRH me paraissait sympathique. Elle connaissait Frank depuis quelques années et lui devait quelques services qu’elle ne détailla pas.
– Frank, vous a recommandé chaudement. Comment l’avez-vous rencontré ? J’ai été hospitalisée ici après l’attaque de mon école. J’ai été victime de sévices par les rebelles et certains renégats de l’armée. C’est Frank qui m’a sauvée et soignée.
– Ah, j’ignorais, et depuis vous habitez chez lui ?
– Oui, je me suis liée d’amitié avec Maggy et Rose, mais il m’était impossible de retourner dans le Nord, où les rebelles attaquent encore régulièrement et où personne ne m’attend. Puis récemment, j’ai subi une intervention à la suite d’un cancer, durant ma convalescence Frank m’a suggéré de reprendre une activité pour me donner plus de chances de rétablissement.
– Êtes-vous encore sous traitement médical ?
– Non, je ne suis plus en soins.
– Bien, alors vous pourrez prendre votre fonction journellement ? Êtes-vous diplômée ?
– Oui Madame, mais mes documents ont disparu, je dois encore prendre contact avec l’établissement qui m’a formée, mais je crains que cela prenne beaucoup de temps pour obtenir une copie.
– Dans ce cas, on va s’en passer. Nous jugerons vos talents à l’expérience. Vous comptez rester en logement chez Frank ? Avez-vous des relations avec le Docteur ?
– Seulement de l’amitié et de la reconnaissance. Il m’a proposé de me conduire tous les matins si je suis engagée, même les jours où il est en consultation à la mission.
– Très bien, alors vous commencerez demain, je ferai préparer le contrat pour demain matin.
Frank m’attendit à la sortie, je lui fis part de la question posée concernant notre relation.
– Ce n’est pas un souci Iona, notre relation restera privée. Maggy et Rose veilleront à ce que nos rapports resteront privés.
– Que se passera-t-il si Rose tombe enceinte ?
– Elle l’est, d’après la prise de sang effectuée il y a quelques jours, elle sera officiellement ma femme. Et à la naissance du bébé, je reconnaîtrai son enfant.
Au retour à la maison, Frank annonça à Rose qu’elle était enceinte et je la félicitai.
– Je me doutai bien de mon état, répondit-elle, j’ai senti les premiers changements de mon corps. Mes seins sont plus sensibles et mon désir de faire l’amour est encore plus intense !
– On va te choyer, Rose, l’enfant aura un papa et deux nounous. Tout se passera bien.
– J’espère que Frank me fera l’amour même avec un gros ventre !
– Ne t’en fais pas, durant sa vie en Europe, il a vécu deux fois la même aventure et puis il est médecin. Il doit savoir comment te baiser !
Ce soir-là Frank fit l’amour avec tendresse, Maggy et Rose me firent des caresses jusqu’à ce que je
m’endorme.
Annotations