### Frank ###

Que le temps passe vite quand on est heureux ! Depuis que j’avais quitté l’Europe et immigré au Nigeria, que de choses avaient changé autour de moi. J’étais chirurgien esthétique avec une belle clientèle. Une épouse aimante et deux filles merveilleuses. Les filles avaient quitté la maison familiale pour épouser l’homme de leur choix et vivaient heureuses. Mon épouse Michèle m’avait donné beaucoup d’amour mais le cancer avait coupé court à mon bonheur.

Après, je crus retrouver du plaisir mais je m’étais trompé en croyant me réfugier dans les bras d’une patiente. Mais je dus faire face à un chantage, elle voulait mon amour, ma fortune sans contrepartie. Grâce à un ami, je trouvai l’opportunité de me rendre utile en partant travailler pour une ONG pour m’occuper essentiellement de femmes ayant un cancer et par la suite aussi de victimes de violences sexuelles.

La rencontre avec Maggy, plus tard l’accueil de Rosa (Rose) changea complètement ma vie. Maggy ancienne esclave, victime d’un crime crapuleux resta à mon service et même si je refusai le concept, elle me rendit de nombreux services. Mon corps fut souvent apaisé par l’ancienne esclave qui calma mes érections fréquentes.

Rose, entra dans ma vie par le hasard de l’attaque de la mission et elle fut adoptée par Grace ma gouvernante. Je lui donnai l’opportunité d’apprendre le métier d’assistante médicale et elle me séduisit à ces dix-sept ans.

J’avoue que Rose, de petite fille malade ayant des problèmes respiratoires était devenue une belle femme. Les confidences et l’exemple de Maggy s’étaient imposés et elle voulut être mon esclave sexuelle comme Maggy.

Iona fut celle qui bouscula notre organisation, enseignante victime de viols à la chaîne, elle dut sa survie à mes interventions car j’avais détecté un cancer précoce des ovaires. Pendant toute sa convalescence je revis l’image de mon épouse Michèle et en finale je l’acceptai dans mon lit. Elle désirait me remercier et fut avec l’accord de Maggy et de Rose la troisième femme à me satisfaire sexuellement.

Le seul évènement qui modifia l’équilibre fut la future maternité de Rose. Contrairement à Maggy et Iona toutes deux stériles, Rose voulut un enfant de moi et obtint ce bonheur.

Cela faisait plus de dix semaines qu’elle était enceinte et comme promis, je l’amenai à l’échographie. Je croyais faire cela en toute intimité mais Maggy et Iona se déclarèrent « belles-mères » et vinrent avec nous assister à ce moment de bonheur. La pièce de l’échographie n’était pas très grande mais nous eûmes suffisamment de place pour avoir un aperçu de l’écran.

Dès que le confrère échographiste nous montra l’image, il y eut comme un moment de joie : le fœtus était bien là. J’eus aussi un soulagement, il était solitaire, l’œuf était bien centré dans l’utérus ! Puis le médecin augmenta le volume du son : ce fut encore qu’un crépitement rapide qui surprit les trois femmes. De par ma formation je m’attendais à ce rythme rapide. Mon confrère rassura l’assistance que ce rythme rapide était normal pour le fœtus à cet âge.

Même moi je fus ému d’entendre la vie de mon enfant, même si ce était le troisième !

Le retour à la maison se fit dans une ambiance joyeuse.

La journée resta détendue et le soir Rose me demanda de lui faire l’amour. Les deux autres femmes voulurent participer à la fête, ce fut une phase de caresses sans attendre ma participation. Maggy fut la première et réveilla le désir de Rose en excitant le bijou avec sa langue. Très rapidement Rose lâcha ses premiers gémissements. Iona, elle vit que je ne restai pas insensible et entreprit de masser ma verge déjà en érection complète.

Rose s’aventura même à me sucer, sans avoir la moindre nausée. Puis elle écarta ses jambes et me demanda de la pénétrer. Je la pris sur moi pour qu’elle puisse s’empaler et afin d’avoir le spectacle de ses seins secoués par ses mouvements. De plus, cela me permettait de la toucher à ses tétons érigés. À un certain moment elle se recula pour que ma verge ressorte en partie puis elle inséra sa main autour de ma verge pour augmenter mon plaisir.

C’était nouveau ! Elle n’avait jamais fait une telle manipulation. Je parvins à lui demander :

– Tu ne m’as jamais fait cela !

– Non, Maître, Maggy m’a appris cette caresse, et j’en ai encore d’autres en réserve ! N’oublie pas que tes filles, nous nous sommes alliées pour te donner du plaisir !

Maggy s’approcha :

– N’oublie pas, que tous les soirs nous sommes là pour te faire jouir et bien sûr pour nous amuser. Aujourd’hui nous avons convenu de t’amener au sommet puis de laisser bien dressé et de donner de temps à autre une impulsion pour provoquer le jet de ton sperme sur nos seins et même en pleine face. J’adore recevoir cette humiliation, en fait c’est terriblement excitant !

– Oui, dit Rose, Maggy et Iona ont énormément d’expérience en matière de plaisir des hommes. On te doit tant, tu nous as sauvées, on te remboursera sous forme d’orgasmes.

– Ce soir on va utiliser ta verge bien dure pour caresser le bijou de Rose jusqu’à atteindre son orgasme sans que tu n’éjacules.

Elles firent coulisser ma verge entre les lèvres intimes, Rose appuya sur mon sexe pour que le contact soit très intime.

Pour moi, ce fut intenable et mon sperme se perdit sur son ventre et ses seins. Les filles gourmandes léchèrent tout jusqu’à la dernière goutte.

– On recommencera demain, mais on diminuera la pression sur ton chibre pour que tu résistes plus longtemps.

– Si je comprends bien, vous allez faire des expériences en utilisant mon pic pour me faire jouir ?

– Oui, de plus on mettra un peu de stimulants dans ta nourriture pour augmenter tes performances !

– Soyez prudentes quand même, je veux garder mon contrôle lorsque le lendemain je dois opérer.

– On dira surtout à Happy de ne pas t’exciter dans la salle d’op ! dit Rose. Je suspecte qu’elle te masturbe lorsque tu opères des seins ! Happy m’a confié qu’elle te masturbait lorsque tu reconstruisais des seins, il paraîtrait que le résultat est plus joli !

– C’est quoi cette histoire ?

– C’est Happy qui nous a divulgué cette histoire !

– Et vous croyez ce mensonge ?

– Oui, Frank, certains jours tu fais vraiment des prouesses. La semaine passée une patiente m’a confirmé que ses seins d’aujourd’hui sont plus beaux que ceux d’avant son cancer !

– Je crois que c’est exagéré ! répondis-je, il est vrai que lorsque j’en ai la possibilité je tente de leur rendre la beauté de leur corps.

– Oui Frank, ces femmes te sont redevables de leur bonheur !

– Merci du compliment ! Mais pour ce soir on suspend les expérimentations. On m’a annoncé une morsure de crocodile, on compte sur moi pour aider cette jeune personne. Rose et Maggy je vous veux dans la salle d’op avec des idées !

– Tu as des détails ?

– Non ! on nous l’amène demain matin !

Rose s’allongea dans mes bras, Maggy et Iona se placèrent dans mon dos pour m’aider à dormir.

***Le jour suivant ***

### Rosa ###

Frank se réveilla ce matin avec une trique d’enfer ! Pendant toute la nuit dans ses rêves sa verge tenta de s’insérer entre mes fesses. J’étais moi-même trop endormie pour satisfaire à sa demande, mais ce matin je ne pus lui refuser ce plaisir.

– Maître, prends ton plaisir, mais je me souviens qu’hier soir tu nous as parlé d’une opération à la suite d’une morsure de crocodile.

– Oui, ma libellule, mais mon bâton est bien trop dur, si je me présente ainsi à l’hôpital, Happy va en profiter. Cette femme finira par me violer sur la table d’opération. Rose, fait le nécessaire pour que je puisse me rendre détendu et serein pour aider mon prochain.

– Oui, je suppose que tu désires juste te calmer ?

– Oui, comme tu veux mais fait vite, Maggy et Iona dorment encore,

Je me redressai et pris sa queue en bouche, le test fut concluant ; je n’eus pas de nausées matinales. Ah ! Quel plaisir de sucer son gourdin ! Son gland rougeoyant montra déjà quelques gouttes de liquide préséminal. Je l’aspirai comme une boisson délicieuse qu’on boit avec une paille. Frank eut déjà des gémissements annonciateurs. J’aurai bien continué ce jeu, mais il voulut quelque chose d’expéditif, je m’appliquai donc avec mes mains et ma bouche. Oui, ce fut rapide mais intense ! Il vida le contenu de ses bourses au point que je ne pus pas avaler tout !

Maggy s’était réveillée par les grincements du toubib et vint à mon secours.

– Oh Rose, tu es une salope ! tu veux tout garder pour toi ?

– Maggy, notre maître m’a ordonné un plaisir rapide, mais je suis aussi ta servante, embrasse-moi j’ai encore assez en bouche pour partager son jus avec toi !

En remerciement elle glissa ses doigts dans ma fente et me fit quelques caresses qui me firent vraiment plaisir, mais il m’a fallu me lever. Frank nous réclama sous la douche ! Maggy et moi savonnâmes son corps sans oublier le moindre recoin. Sa verge reçut un massage pour drainer l’afflux de sang. Il fallut qu’on se modère car j’eus l’impression qu’il était proche de commencer le grand jeu.

Iona nous rejoignit au moment où Frank arrêta la douche et se tourna vers moi,

– Il est temps de partir vers l’hôpital, Iona tu viens aussi, tu t’occuperas de tes élèves pendant que nous ferons le nécessaire pour l’accident avec le crocodile.

À notre arrivée dans la salle d’op, Happy nous accueillit avec un sourire carnassier. Elle m’embrassa de même que Iona. Elle demanda des nouvelles à celle-ci et se permit de caresser ses seins sous le regard de Frank. Je notai deux choses : elle eut un regard de défi vers le chirurgien et sa blouse légèrement ouverte donna un aperçu de sa poitrine nue. Je fus certaine que si Frank eut été plus proche, elle se serait permis de caresser sa verge !

Puis la patiente fut amenée, accompagnée de l’anesthésiste qui l’avait mis sous sédatifs depuis la veille. Frank examina la blessure.

– Elle a eu de la chance, le crocodile l’a mordu à l’épaule mais n’a pas pu la saisir pour l’emporter sous l’eau. N’empêche la morsure est profonde et il manque une partie du biceps !

– Non Docteur, dit Happy le muscle s’est détaché au niveau de l’articulation du coude, mais je crois qu’il ne manque pas grand-chose.

– Oui, dit Maggy, ce devait être un petit crocodile, l’empreinte de la mâchoire n’est pas très grande.

Frank vérifia la circulation sanguine et procéda provisoirement à isoler l’hémorragie, que le bandage avait partiellement bloquée.

– Oui, dit Frank, la patiente a de la chance, on pourra reconstruire de muscle mais avant tout il faudra désinfecter massivement pour éviter la septicémie.

L’opération fut très longue. Je dus reconnaître que Happy très attentive anticipa beaucoup de gestes de Frank. Moi je reçus beaucoup d’ordres de sa part et quelques-uns de Frank ce qui me donna l’opportunité de me rendre utile.

La journée tira à sa fin lorsque Frank sutura les dernières blessures. Je parvins à isoler mon maître qui était épuisé. Je le guidai vers la salle de repos, Happy ayant reçu l’instruction de surveiller le réveil de la patiente. Je restai près de Frank pendant qu’il se reposait. Maggy me rejoignit après avoir nettoyé et rangé les instruments.

– Ouf ! dit-elle, c’est maintenant que je comprends que Frank est un génie, j’ai compris par déduction, toutes les réparations qu’il a pratiquées sur mon corps à l’époque.

– Oui, Maggy, mais j’ai cru comprendre que ce soir on restera ici. Frank demande de dormir un peu. Pour plus de sécurité on restera avec lui. Happy a rassuré les parents de la victime et elle a reçu instruction de venir le réveiller qu’en cas de complications seulement.

Avec Maggy, couchée aux côtés de Frank, je me sentis heureuse. Maggy profita que Frank tomba dans son sommeil pour me prendre dans ses bras. J’avais enlevé ma tenue hospitalière et Maggy aussi. Assez étonnamment Frank dans son sommeil eut une belle érection. Maggy tendit la main vers son pic mais hésita à le toucher, comme moi elle ne voulut pas priver notre maître de son repos. Je reçus donc les caresses qu’elle destina à notre protecteur. Mais très rapidement nous glissâmes dans des rêves, qui pour ma part furent très érotiques.

Ce n’est qu’au matin que Maggy et moi nous décidâmes de réveiller notre Maître par un jeu qu’il appréciait énormément.