Chapitre 25. Happy se défoule !
### Happy ###
Je m’étais levée très tôt ce matin, mon sommeil ne m’avait pas vraiment détendue. Ma robe de nuit (pour une fois que je ne dormais pas toute nue) était trempée ! Je décidai de me laver soigneusement pour éliminer les fluides entre mes jambes. En passant avec mes doigts sur mon intimité, je provoquai une onde de désir assez surprenante ce qui se répercutait jusque dans mes seins. Je devais absolument trouver de quoi me calmer. J’espérais de rencontrer le Dr Frank et l’isoler pour qu’il me donne du plaisir. Cela ne s’annonça pas simple à réaliser, sachant que depuis un certain temps il ne venait plus sans être accompagné de ses courtisanes qui officiaient comme une garde rapprochée et m’empêchaient de le caresser et de le provoquer. Pourtant chaque fois qu’il opérait et que je l’assistais, je voyais nettement la bosse dans son pantalon. C’était particulièrement flagrant lorsqu’il opérait une jeune femme. Il exigeait toujours que la patiente fût intégralement nue revêtue seulement de la blouse d’hôpital. À chaque fois il examinait attentivement son corps et s’attardait sur l’aspect de ses seins et de son ventre.
Je tournai en rond dans les couloirs, pour ne pas m’énerver davantage, je pris l’initiative d’examiner la dernière opérée, victime d’une morsure de crocodile. À mon entrée, la patiente était éveillée et souriante.
– Bonjour Mademoiselle, comment vous sentez-vous ce matin ?
– Merci, une infirmière m’a déjà donné une injection pour diminuer la douleur qui fait son effet.
– Oui, je le vois sur votre fiche de traitement. Avez-vous déjà bougé un peu votre bras ?
– Non, j’avais trop peur de me faire mal.
– Alors on va en profiter maintenant, tant que l’effet de la piqûre est actif.
Je défis sa blouse et le pansement qui pouvait gêner son mouvement. J’eus des frissons de désir en voyant son jeune sein encore bleui, par l’hémorragie. Je fis d’abord bouger son bras sans qu’elle ne fasse un effort. Comme tout se passa sans trop de grimaces, je l’encourageai à faire elle-même le mouvement.
– C’est très bien, le chirurgien sera content ! Lorsqu’il vous verra tout à l’heure on recommencera les exercices de mobilisation.
Je la quittai pour finir ma tournée des patientes qui étaient sous ma surveillance en espérant rencontrer Frank. Je fus déçue lorsque j’appris qu’il n’était pas encore arrivé. J’avais vraiment des problèmes, je dus passer par les toilettes pour essuyer mon intimité car ma cyprine était abondante et me gênait dans ma marche à travers les couloirs.
Je laissai un message à la réception pour qu’on m’avertisse dès l’arrivée du toubib. Puis je m’étendis dans la chambre de repos, où je ne pus résister à me caresser pour calmer un peu mon désir.
J’avais une main sur mon sein et quelques doigts dans mon vagin lorsque Frank ouvrit doucement la porte. Pour mon bonheur, il était seul.
– Bonjour Happy, je ne te dérange pas j’espère ?
– Non Docteur, je m’étais étendue juste après mon tour d’inspection, j’attendais votre arrivée pour vous faire mon rapport.
Frank vit bien sûr que mes mains étaient sous ma blouse, intentionnellement je ne les retirai pas, lui laissant le soin de découvrir ce à quoi j’étais occupée. Je restai couchée mais je lui fis quand même le résumé de ma visite du matin. J’osai même bouger mes doigts qui titillaient mon téton. Frank fit aucun commentaire mais son regard était rivé sur ma poitrine. Je ne rêvais pas, son sexe remua dans son pantalon, il fut obligé de déplacer son chibre qui prit une forme plus agressive. Ce geste me fit plus d’effet que prévu et ma main proche de son côté quitta mon vagin pour caresser la bosse de sexe. Il eut un léger mouvement de recul mais je serrai son engin à travers du tissu pour le forcer à se rapprocher.
J’étais sur le pont de descendre la tirette de son pantalon lorsque Rose et Maggy firent leur entrée. Je pestai intérieurement et lâchai ma prise bien évidemment. Je crus voir dans les yeux de Frank un flash d’agacement, que se serait-il passé sans l’entrée inattendue des deux femmes ?
Maggy n’hésita pas une seconde et prit possession de l’engin du chirurgien en me lançant un regard plein de défi. Le message était clair : « Pas touche ! » elle tint sa prise et osa même une caresse explicite avant de lever sa main et d’écarter les pans de ma blouse pour révéler mon autre main toujours accrochée à mon téton. Maggy comprit mes intentions et glissa une main dans la poche du pantalon de Frank pour masser sans gêne sa verge gonflée.
– Pourras-tu nous accompagner à la tournée de la visite ? demanda Frank sans aucune émotion dans la voix.
À ma surprise Frank écarta ma main de ma poitrine et sans la moindre hésitation recouvrit mon sein.
– Oui, bien sûr Docteur, et je me levai sans fermer ma blouse. Je vérifiai juste en passant devant un miroir que mes seins restaient cachés. L’échancrure restait suffisamment provocante pour émoustiller Frank et irriter la femme.
Cette passe d’armes avec Maggy, m’excita davantage et j’affichai un petit sourire de victoire qui exaspéra Maggy. Pendant toute la tournée des patients, je ne changeai rien dans ma tenue. Rosa fut amusée de la provocation mais fit semblant de rien. Lors de l’examen de l’opérée, je dévêtis le torse de la jeune fille pour provoquer Frank. La fille qui s’appelait Daisy, elle, ne fut nullement intimidée. Elle remercia Frank pour lui avoir sauvé son bras. Frank vérifia la mécanique de son bras et je vis le téton de la fille se dresser lorsque Frank toucha son sein pour évaluer la mobilité de son épaule. Daisy qui sentit le regard de Frank sur sa poitrine en rajouta encore une couche de provocation lorsqu’elle souleva son sein pour montrer la blessure sous la courbure de son buste.
Je me demandai si elle ne le provoqua pas intentionnellement car elle avait le regard fixé sur le pantalon de Frank. Au moment de quitter la chambre, nous fûmes dérangés par l’entrée d’un jeune homme qui s’avérait être le petit ami de Daisy. Celle-ci n’hésita pas à s’exhiber pour montrer à son chéri que Frank avait récupéré son apparence et qu’il ne devait pas s’alarmer pour le futur. À juste titre la fille voulut montrer que son physique n’était pas trop abîmé, d’autant plus que le petit ami avait le regard rivé sur le corps de Rosa. Frank fut remercié comme il se doit par le jeune homme. Le médecin modéra quand même l’enthousiasme du petit ami en signalant que Daisy aurait une longue convalescence avant de pouvoir reprendre pleinement l’usage de son bras.
À la fin de la visite, je prétextai un problème d’intendance pour m’isoler avec Frank, mais celui-ci sentit le piège et trouva le moyen de garder Rosa à son côté.
Ce n’est que lorsque je fus enfin seule avec le chirurgien pour préparer l’opération de la journée que j’entrevis le moyen de séduire le médecin. Il était en tenue relax en train de savonner ses mains lorsque je vis la possibilité de caresser son torse et de me coller contre lui. Ne voulant pas contaminer ses mains, il ne voulut pas me toucher et j’eus donc le champ libre pour satisfaire mes envies. Je comptai le masturber jusqu’à un certain point puis enfoncer son sexe dans mon vagin pour qu’il me fasse plaisir.
L’idée était géniale mais le plan ne se fit pas selon mes prévisions, avais-je été trop pressée ? mes caresses étaient-elles trop intenses ? En tout cas, il fut trop rapide et éjacula bien trop vite en inondant l’évier qui lui servait pour désinfecter les mains.
– Oh m… , Frank, ce n’était pas ainsi, tu m’as surprise.
Et plus grave encore, inexplicablement sa verge perdit sa vigueur, il débanda ! il n’était plus question d’en profiter. Il ne me resta plus que de remettre son jouet en place et de me préparer pour l’assister à l’opération.
Frank me regarda sans une parole, l’opération se déroula en pilotage automatique. Ce n’est que lorsqu’il eut achevé de recoudre la patiente et que nous fûmes dans la salle de repos qu’il reprit vigueur et me coucha contre la banquette, il écarta mes jambes et me prit de force. Je fus tellement surprise que je me laissai faire et ce n’est que durant le pilonnage que je repris conscience et participai activement au coït.
Frank était déchaîné, était-ce par vengeance ou juste pour jouir de la frustration subie avant l’opération ? mais son bâton raide m’enfonça contre mon utérus et lorsque enfin je pus jouir, je criai à pleine gorge.
Frank ne s’arrêta pas ! il reprit ses allers-retours de plus belle et je subis une attaque puissante que j’aurais assimilée à un viol si ce n’était pas moi la cause de cette agression. Nous eûmes un second orgasme ensemble, Frank était vraiment brutal. Il serra mes seins jusqu’à la douleur et se retira épuisé lorsque son sexe cessa de vibrer.
Durant l’acte, il avait arraché les boutons de ma blouse et pour rester présentable, je dus me rabattre sur un t-shirt de rechange et un pantalon léger que j’avais dans mon casier pour sortir décemment de la salle. Avant qu’il ne quitte la pièce, je réussis néanmoins à mettre mes bras autour de son cou :
– Pardon Frank, tu as été formidable, même si c’était très violent.
– Happy, ne recommence plus jamais cela ! Oui, tu m’as transformé en bête de sexe, ce n’est que vers la fin que je réalisai que je te violais.
– Non Frank, c’est moi qui t’ai provoqué, je n’ai eu que la récompense de mes actes. Pardon, j’espère qu’un jour on remettra ça !
– N’y compte pas trop ! À la prochaine provocation de ta part, je ferai en sorte que tu sois licenciée.
– Oh non ! Frank, j’ai besoin de toi ! Ça fait des mois que je fantasme de te baiser. Il faudra qu’on trouve un terrain d’entente.
– Happy, tu dois comprendre que j’ai assez d’occasions de plaisir sexuel à domicile, tu devras t’entendre avec Maggy et Rose qui font tout pour te barrer la route. Elles ont compris depuis longtemps que tu essayes de grimper dans mon lit !
– Oui, et ton action aujourd’hui me fait penser que les trois femmes qui t’entourent ne parviennent pas à te satisfaire ! Peut-être qu’elles ne te font même pas l’amour ? La preuve, tu es quasiment tout le temps en érection, tu n’es pas comblé ! Regarde ! ton coq est tout dressé et sa crête est rouge ! Invite-moi chez toi avec tes trois femmes, je vais leur montrer comment te baiser.
– Happy, cesse de délirer ! Elles ne voudront jamais !
– On verra.
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