Mais après la gifle, elle ne peut se retenir et se laisse ainsi aller dans ses bras si envieux de la retrouver, pour vivre le baiser le plus passionné de l’histoire de l’humanité.

Elle lui caresse la joue comme pour excuser son geste. Il lui ne lâche pas ses épaules comme s’il craignait un nouveau geste brusque ou un énième départ précipité.

Les convives applaudissent y compris cette union improbable et le marié insiste et incite pour que le repas démarre. Le problème est à sa table où deux chaises sont vides et en plus pas côte à côte.

Il faudrait sûrement les réunir ces deux-là ? Ou la gifle n’était qu’un coup d’essai ?

Il se tourne vers son épouse qui a un regard presque noir. Interloqué, il s’approche d’elle qui bougonne après ces deux voleurs de vedettes. Mais est-ce la seule raison ?