Rencontre

Maintenant, c’est à moi de prendre en main le destin. Je dois déclarer mon amour à mon Senpai sous le cerisier. Mais comment faire ? Je trouverais bien une idée dans ce milieu de semaine.

Mmmm… Au lycée ce matin, une nouvelle fille apparentée de son allure majestueuse. Je la croise dans le couloir, devenu étroit. Nous marchons droit. Elle me regarde de haut et à un comportement arrogant. Avec ses cheveux, sa franche et ses yeux violet lilas hautain. Ses couettes trop frisées courtes et hautes, on croirait une perruque, attachée grâce à des roses rouges. Des lèvres, ni trop fines ni très pulpeuses, mais d’un rouge explosif. Tout est orgueilleux chez elle et on ressent énormément bien son égoïste et sa hauteur. Elle a le brassard des présidents des clubs au bras, et c’est maintenant qu’elle va en cours, je crois, que cette adolescente fait tout ce qu’elle veut.

La donzelle m’a pris du regard dans ce petit couloir. Si elle s'avait que je ne ressens rien envers elle et les autres. Elle sera déstabilisée de voir que son comportement insolent ne marche pas sur moi. J’ai toujours cette même démarche assurée et mes yeux déterminés et vif de couleur noire. Mon masque ne change pas. Je rentre en cours celui que je n’aime pas du tout, cette matière horrible, l’histoire, grâce à la prof ennuyeuse, ça n’arrange pas.

Midi, je mange, mon bento un peu bizarre fait que de mon plat préféré aujourd’hui, les maquis, à l’intérieur de l’avocat, du tofu et du saumon crus. C’est agréable, de se faire plaisir ! Assise sous le soleil chaud à l’ombre d’un arbre de l’école. Le silence règne. Il n’y a que le vent qui chante sa douce mélodie harmonieuse, supporté de temps à autre en compagnie des refrains des moineaux.

Puis je rejoins mon Senpai, pour l’observer en douce. Épouvantable ! Mes yeux s’écarquillent. Il parle, avec… La… Nouvelle arrogante ! Abasourdie ! Ils se lèvent et partent. Mes points tremblent, se serrent et mon souple aussi. Je les suis subrepticement et sans aucun son. La sonnerie des cours résonne, ils partent. Ils n’ont fait que le tour du lycée en papotant.

Et ce qui me met dans une fureur, c’est qu’elle le console et le divertit, par rapport au drame d’Osana-chan. C’était à moi seule de le faire. J’étais venue pour ça. ! Je quitte l’endroit aussi. J’ai réussi avoir une photo d’elle sans qu’elle me voie. Je l’envoi à Info-chan, elle me répond presque instantanément en m’envoyant une fiche d’identité très complète, associé de sa photo et les informations de base, sa description et autre.

J’ai donc appris qu’elle s’appelle Kizana Sunobu, chef du club de drama (théâtre). Personnalité égoïste et arrogante. Je n’avais pas besoin de la fiche pour savoir ça ! Elle vient d’une famille noble. Apparaît aujourd’hui pour sa nouvelle année en troisième année, scolarisée depuis trois ans dans ce lycée. Même avec sa personnalité désagréable, elle attise tous les mecs à l'égard de son apparence de déesse et sa capacité à enchanter le public.

Ensuite le point important. Elle veut que Taro Yamada, mon Senpai, soit inscrit à son club, car elle le trouve somptueux cette année et qu’il attire tous les regards. Que ça soit homme ou femme et de tout âge. Elle exagère ! Il est à moi seule ! A la fin de l’enseignement d’aujourd’hui, je traque Sunobu-san jusqu’à qu’elle s'introduirse chez elle. Ultérieurement, je rentre m’endormir.

Au réveil, je n’ai pas encore trouvé de surprise à celle la. Sur le chemin, je pense que je devrais aller plus vers Sunobu-san. En rentrant dans son club. De toute manière, je suis une bonne actrice. Je n’aurai pas trop de difficulté, ça me fera probablement une expérience pour plus tard. Tout le long de la journée, je surveille pointilleusement mon Senpai et Kizana-chan. L'aprè-midi arrive, elle l’amène l'intérieur de son club. Ils font quelques essais de théâtre. Drôle à voir !

Elle lui pose la question s’il veut la rejoindre. Il répond : « Je ne sais pas encore, je vais irréfléchi. Merci pour ce beau teste de pratique ». Quelle élocution magnifique ! Ferme, éclatante et chaude. Qui fait danser mes oreilles, mon cerveau, mon cœur et mon souffle. Puis mon petit Taro part en la saluant. Je ne le suis pas exceptionnellement. Je vais voir la présidente afin de lui demander si je peux rentrer aux seins de son groupe. En y allant, je croise quelqu’un, je me mets à remonter mes épaules, à me recroqueviller, ma respiration se coupe, je regarde le sol et joue avec mes mains.

Il passe trop proche de moi et dit : « Qu’es qu’elle la ? » D’un ton intrigué. Ma timidité a surgi pareille qu'une explosion. AH ! Senpai, ta voix est si magnifique et envoutante. Puis comme toute attente, Kizana Sunobu m’expérimente. Voir ses yeux hautins comblé de bonheur, me rassure sur mes prestations. D’un coup, un bruit me fait sursauter et me donne des frissons sur le corps entier, Sunobu-san cris d’une intonation aiguë : « Oui ! Je te prends ! ». Je la remercie aimablement avec un visage satisfait et relaxer. Elle me pose une question, si je voulais assister aux exercices et l'entraînement de ce soir, j’accepte bien sûr.

La salle du club de drama, est autour des tons violet et rouge. Les murs sont en de deux couleurs. La peinture rouge-violet est en bas. un peu près à un tiers du mur, cette teinte est encadrée d’une fresque unie violet pourpre. Le reste du mur en haut,est en violet zinzolin. Le sol en latte de bois sobre et prune. Des rideaux rouges cerises sur les fenêtres donnant sur l’extérieur et celle du milieu vu sur le couloir. Le club est éclairé avec de bons éclairages de professionnel, de manière à ne pas nuire les répétitions. Cette pièce ne sert qu’à cela.

La lumière est tellement bien réglée, que je n’ai pas fait attention que les rideaux sont fermés. Au centre de la pièce, une simulation de décor, de scène avec un tapis rectangle du même pigment que les rideaux. Accrochés par des tringles en fer forgé, des embouts en sphère ton or. Ces tringles sont aussi au milieu de la pièce fixer en haut du décor central relié aux murs de droite et gauche, avec des rideaux identiques, mais ouvert.

Devant le tapis et le décor, à quelques centimètre des chaises rouges et noires en demi-cercle. Des vêtements et des costumes sont rangés derrière les rideaux contre les murs de droite et gauche. Une table ronde en bois claire dans le coin du fond à droite. Au coin opposé un spectre, qui doit servir pour une pièce ou des entainements. Pour finir, des masques suspendus en ligne sur le mur entres les deux fenêtres donnant sur l’extérieur.

L’heure où le club commence, tous les membres sont là. Une personne me saute aux yeux une fille qui ressemble à Kizana-chan, ou plutôt a le même look. Les exercices de diction en premier aujourd’hui, dit la chef. Tout le monde prend leur place habituelle. Je choisis une chaises au milieu des gens. Pour les débutants, les exercices sont sans pitié. Ils nous en font baver.

Je vois très vite que Sunobu-san ignore fortement la personne qui la coïncide. C'est évident qu’elle ne l’affectionne pas. Donc autant aller vers cette camarade. Qui a clairement, la même coupe et les mêmes cheveux violets en couettes frisées, mais un peu moins, attacher seulement avec un élastique simple. Elle a aussi ses yeux, qui sont identiques à cette couleur lilas. La prochaine activité, est par deux sur la semi-scène d’entraînement.

Je demande à cette camarade si on peut se mettre ensemble. Elle me répond positivement. On écoute les instructions de la présidente, on se met sur le tapis. Discute et j’apprends pal mal de chose sur elle. AH oui, je ne vous l’ai pas dit, le décor est magnifique, un paysage ancien.

Elle s’appelle Kokona Haruka et j’ai vite compris que Kizana Sunobu est son admiration, sa vedette, sa diva. C’est grâce à elle qu’elle adore le théâtre qui est devenu sa passion. Jusqu'aux lueurs de ses yeux, cela se voit qu’elle l’admire et aussi son comportement toujours à l’écoute. Très active et présente aux activités. Et la copie du style de Kizana-chan. AH, oui ! elle adore aussi les chats, quelle idée d’aimer des animaux, ils ne ressentent rien pour personne, comme moi.

Ce divertissement de la soirée m’a plus et m’a fait apprendre beaucoup. En retournant chez moi, je réfléchis à ce que je peux bien faire avec Sunobu-san et Haruka-san. Une qui l’admire et l’autre qui la dépricie. Quel plan vais-je faire ?