4/Corruption (troisième partie)
Pourquoi va-t-elle derrière le ventilateur ? Pars mon extrême ambition de tout savoir, je m’avance délicatement. Je me muche pour pas qu’elle me voit. À ma plus grande stupéfaction, elle a rejoint une amie. Je n’aperçois que des cheveux verts aux reflets turquoise, avec de longue, très longues couettes. Je les attends bavarder, cependent Kokona-chan a une voix tremblante et son amie une tonalité inquiète :
- tu n’es pas comme d’habitude Kokona ?
- Ne t’inquiète pas, ce n’est rien.
- Ce n’est pas grave, si tu ne veux pas en parler. Je comprends. Mais souviens-toi que je suis ton amie et que je ne te jugerais jamais.
- J’ai… Envie de parler, mais… C’est compliqué.
- Je t’écoute.
- Depuis que… Ma mère est partie. Mon papa boit énormément, il devient ivre… Et… Quand… Il arrive dans ma chambre…. Il… Lie (non) ! Oublie ça ! Je ne peux vraiment pas en parler.
- NANTE (quoi) ? Mais ça devient vraiment sérieux. Que fait-il ton père ?
- J’ai dit que je ne voulais pas en parler, laisse-moi tranquille, Okay !
- Tu n’as pas avoir honte de ça ! Dit moi ce qu’il ne va pas.
- Je ne veux plus rien dire... Laisse tomber !
- Oya (OH)… Si tu le dis. Mais je suis vraiment inquiète maintenant.
J’attends leurs pas arrivés vers moi. Je cours silencieusement me cacher aux alentours de l’escalier à côté. Je vois uniquement le dos de la fille aux cheveux verts descendre. Je remonte. je voie Haruka-san assise sur un banc, je crois qu’elle m’attend ! Je m’installe près d’elle. On dîne et discute. Puis nous remetons la discussion tendue de ce matin sur le plat. J'essaye de m'exprimé un peu sur son père. Elle commence à avoir les larmes aux yeux.
Elle craque. Elle se met à pleurer. Je la console autant que je le peux. Je fais la chose la plus détestable au monde. Je la prendre dans mes bras, qu’est-ce que je ne ferais pas pour mon Senpai ? J’arrive ainsi à lui faire balancer ses mots douloureux. Elle m’explique. Je sais donc que… Vous ne serez pas, c’est confidentiel. Non, je rigole !
Je pensai que son père abusait d’elle et qu’elle se faisait salir par des hommes inconnus. La vérité est plus complexe.
Lorsque Kokona Haruka rentre chez elle, lui revient de son travail. Il va à la cuisine et boit, et se transforme en l’homme soule. Afin d'oublier la mort de son amour qu’il chérissait. Chaque soir, elle essaye de l’arrêter, néanmoins décline. Kokona-chan se confine dans sa chambre. Au moment où il devient bien ivre. Il vient aux seins de sa chambre et pleure soutenue par les bras d’Haruka-san pour déverser sa peine.
Dès la mort de sa mère l’année dernière. Leur famille perdue beaucoup d’argent. Son père s’en dette d’un emprunt pour continuer de payer les études à sa fille unique. Par contre il est tombé sur une personne malsaine et violente, Loans Ronshaku. Il le menace de torture et autre, s’il ne paye pas. Cependant, il augmente leur taux d’intérêt de 10 % tous les 10 jours.
Néanmoins, elle cherche par tous les moyens du travail en vue de l’aider. En tant qu’intérimaire et mineur elle est mal payé et les jobs qui rémunèrent bien, voire très bien, son sale. Donc elle se prostitue chez des Love Hôtel en échange de gagner de l’argent et sortir de cette misère.
Elle ne voulait pas que je l’aide, que je m’implique et de ne rien dévoiler à personne même à sa meilleure amie, Saki Miyu. Mais borner et persévérante je vais la secourir et trouver un moyen de finir avec ça. Et me la mettre dans la poche.
Après cette longue discussion sentimentale pendant le déjeuner. La fille aux cheveux verts court vers nous et nous appelle : « Kokona, Yan-chan », nous lui faisons un coucou. Arriver en face de nous, essouffler. Je la reconnaissais et lui dit :
- Konnichiwa (bonjour), Miyu-san
- Yaa ! (salut), tu es toujours aussi formelle. D’une voix enjouée.
- Excuse-moi.
- Ça faisait longtemps qu’on ne s’est pas retrouvé toutes les trois. Tu es distante en ce moment Yan-chan.
- Désolé, je m’occupe de la maison, mes parents sont partis à l’étranger.
- Tu es toute seule chez-toi ! S’exprime Kokona-chan, surprise.
- Oui, ne t'inquiète pas, tout vas bien.
- Ils sont partis où ? Questionne Saki-chan.
- En Amérique.
- Waouh ! Disent-elles en cœur.
- Ou en Amérique ? Demande Saki-chan.
- Je ne sais pas. Répondès-je.
- Le toit à changer avec ses barrières et depuis son départ à une nuit éternelle. Sortis Kokona-chan tristement en examinent autour d’elle.
- On ne sera plus tous ensemble. Ajoute Saki-chan d’une voix atone, en regardant le ciel.
Ce moment suspendu dans le silence et le vent chantant. Ce moment de nostalgie de mes camarades, s’interrompt avec la sonnerie du lycée. Ouf ! La nostalgie et les sentiments ne sont pas pour moi. Nous rentrons ensemble, à l'intérieur de la même classe pour reprendre les cours.
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