Depuis hier soir, un manque incessant est en moi. Que je me divertie, que je m'entoure de chaleur ou encore de musique, c'est le vide. Ou peut-être pas ! Est ce de la tristesse dû au manque. Je veux observer Mon Senpai ! Alors ce matin, je me réveille très tôt parce que je dois le voir, c'est une nécessité de vie. Comme d'habitude, je me réveille, me prépare et par-dessus tout, j'admire mon sanctuaire de Taro Yamada.

Je rejoins la rue de sa maison et me cache. Je suis prête pour une journée entière d'espionnage. Mon Yamada-san ouvre son volet, la lumière déjà allumé. J'enfile mes jumelles et je le regarde sans me déconcentrer et sans même cligner des yeux. Mes yeux doivent briller d'amour. Mes lèvres sont souriantes, je mets mon masque de manière à le dissimuler.

Il se change, quand il commence à enlever le bas, je les retire et le laisse dans son intimité. Néanmoins, pendant quelques minutes, je me combats moi-même pour ne pas le voir nu. Pas avant d'être en couple. Tout de même ! Taro-chan décent au rez-de-chaussée et je ne peux plus le voir à cause du mur de la cour. Embêter, je soupire d'impatient et prie qu'il remonte ou sorte très vite.

Ah ! Enfin, je le vois dans la salle de bain et je reprends les jumelles. Mon amour se lave les dents avec une nouvelle brosse, Yamada-san a opté pour une brosse à dent électrique. Senpai est tellement beau et merveilleux ! Mon chéri se coiffe, se maquille légèrement. Juste un peu de BB crème, du rouge à lèvres rose naturelle qui rend ces lèvres si pulpeuse et un trais fin d'eye-liner pour de yeux sublimés.

Puis, Senpai arrange son uniforme du lycée et part. Je le revois sortir de la maison. Je me fais plus discrète et range mes jumelles. Yamada-chan ouvre le portail et marche en direction de l'école. Au moins, aujourd'hui, je ne serai pas en retard. Je le suis discrètement comme une ombre ou du l'air.

Arrivé à l'école, j'arrête de l'observe, mais je le surveille avec qui il est et où il va. Mon amour va la bliotèque seul, pour l'instant car ses amis vont beintot arriver ou ils y sont déjà. De mon côté je doit aller au club occult. Il faut que je trouve une idée en vue de lui trouver une petite surprise. Je c'est que Oka Ruto aime parler de fantôme, alors je dirige la discution sur le spectre des toilettes :

- Tiens ma photo. Dit ma Yan-chan en montrant mon portable.

- Elle a essayé de te faire peur ! Rigole oka-chan.

- Hai (oui), elle a même joué avec mon portable. Ralè-je.

- Elle a surmant pas apprécier le fait que tu n'as pas demandé. Explique Ruto-san

- Tu crois ce n'est qu'un fantôme !

- Non, c'est une âme qui a besoin de gentillesse et bienveillance. Tu n'aimerais pas aussi d'être prise en photo en surprise.

- Je ne sais pas, dis-je en haussant les épaules.

- Aller ! Essaye de te mettre dans la situation de l'autre. Fait un film dans ta tête. Dit Oka Ruto avec un regard brillant et une voix enjouer.

- J'essayerai plus tard ! Répondè-je.

- Oya (OH) ! Regarde ! Pour moi, elle a posé comme un mannequin !

- WOAH !

-Nous voyons mieux son visage normal et sa tenue.

- Hai (oui) ! Mais ça ressemble à l'ancien uniforme !

- Hai (oui) ! L'uniforme blanc et bleu marine avec le nœud rouge.

- Tu as réussi à le reconnaître avec toutes ses déchirures et la photo en négatif ! Répondè-je avec étonnement.

- J'ai fait plein de recherches. Et... la fameuse Info-chan m'a aider. Réplique-t-elle.

La sonnerie sonne, nous arrêtons de discuter et comme d'habitude nous rentrons dans nos classes. Pendant les cours, je pense fort à cette entité. Mon inconscient prend le dessus et m'envoie l'apparence déchirer du fantôme. Commençant par les partit blanc éclatant. Après le noir. Puis les nuances de gris. Cela dessine une silhouette maigre. Habit disloqué même son collant épais. Un œil cacher derrière la mèche. Il lui manque une chaussure. Cheveux mi-longs au carré avec un simple bandeau blanc.

Puis dans mon cerveau apparait des culottes, les culottes pour Info-chan. Soudain des questions trotte dans mon esprit. En quoi elle en a besoin ? Qu'est-ce qu'elle fait de ces photos ? J'ai bien sûr, je n'ai pas oublié Musume Ronshaku elle m'aidera à en savoir plus. Les leçons aussi tôt shiagari (fini), je la cherche.

Je la trouve dans la cour extérieure, assise sur le banc avec son groupe, à côté de la petite fontaine ronde. Elles sont toutes en mini-jupe noire et pul colorée attacher aux hanches. Sac à main rectangle aux épaules ou pausé par terre de la même couleur que leur pul. Cheveux décolorés en blond avec des mèches colorées assorti, c'est beaucoup trop coordonner, cela alourdit leur tenue. Le groupe est bronzé et chaussette haute jusqu'aux genoux puis l'uniforme normal sans la veste. Il y a la fille toute en rose, la fille jaune, la fille verte, la fille bleue qui est Ronshaku-san et la fille voilette.

Elles bavardent, bougent dans tous les sens et s'amusent avec leur portable, lui aussi en harmonie avec leur teinte. Quand j'arrive près du groupe tout le monde s'immobilisent. Mais Musume-chan saute sur moi. En criant : " Yan-chan". Je suis forte et je prends sur moi, je ne bouge pas mais mes yeux se sont écarquillés. Je lui dis bonjour en mettant mes mains sur son dos.

Je lui demande si elle peut passer un peu de temps avec moi. Elle accepte. Je ne passe pas par quatre-chemins, je lui demande directement :

- C'est tu pourquoi Info-chan a besoins des photos de culottes ?

- Hai (oui) elle les vend pour pouvoir acheter son matériel.

- Je suppose qu'elle ne va pas arrêter !

- Hai ! Où il y a des douceurs, il y a des fourmis !

- Aa ! (AH) Attirer les gens avec ce qu'ils aiment et en faire du profit ! Merci Ronshaku-san.

- Je t'en prie.

- c'est tu autre chose sur cette fille ? Questionnè-je

- Elle demande... Des culotte sale aux filles et les revend en échange de quelques sous. Dit-elle timidement ?

- NANTE ! M'esclamè-je surprise.

- Hai ! Il y a un gros marché noir dans ce lycée. Moi... -même ... J'le fais....

- Pour avoir de l'argent et acheter des cigarettes.

- Tout à fait. Répond-elle.

Ses ventes clandestines embêtent tout le monde. Qu'est que l'homme ne peut pas faire pour à voir des billets ? Je crois qu'il peut tous faire, car les sentiments se font manipuler par autrui. Je suis bien contente de ne pas être ballotté. Ronshaku-san ne m'a pas questionner sur le jour de l'enlèvement. Tant mieux mais un jour ça viendra quand elle sera prète ou peut-être qu'elle veux l'oublier et que cela reste secret.