— Mesdames, messieurs bonsoir. Au programmes de ce soir l’interview de Nicolas, l’un des personnages principal de l’œuvre Lui. Bonsoir Nicolas.

— Bonsoir Mme. Lagarde.

— Oh appeler-moi Marlène.

— D’accord, avec plaisir.

— Nicolas, vous êtes ici ce soir pour nous parler de vous, êtes-vous d’accord à répondre à toutes les question qui vous seront posées ?

— Bien sûr !

— Génial, commençons : quelle est votre nom de famille ?

— Je m’appelle Nicolas Boncel.

— D’accord, quel est votre âge ?

— J’ai 27 ans.

— Si je peux me permettre, vous faîte plus jeune !

— Merci beaucoup, vous aussi.

— Vraiment ? Ça me touche, mais bref, avez-vous un super pouvoir ?

— À ma connaissance non, mais je suis très bon imitateur

— Ah bon ? Pourrions avoir une imitation ?

— Pourquoi pas.

*Imitation de Julien*

— Oh mais vous l’imitez extrêmement bien !

— Oui merci, prochaine question ?

— Oui, avez-vous une relation en ce moment ?

— Il me semble que vous savez que je suis actuellement fiancé à Julien.

— Oui, mais c’est une question obligatoire !

— Ah d’accord, autant pour moi.

— Ce n’est pas grave, de quelle couleur sont vos cheveux ?

— Ils sont brun chocolat.

— D’accord, et vos yeux ?

— ils sont vert olive.

— C’est rare les yeux verts, vous avez beaucoup de chance, en parlant de couleur, quelle est votre préféré ?

— Le bleu turquoise.

— Oh moi aussi c’est dingue ! Plus sérieusement, avez-vous un ou une meilleur(e) ami(e) ?

— Oui, il s’appelle Anthony. C’est d’ailleurs lui mon témoin de mariage.

— D’accord, votre lieu de résidence ?

— Excusez-moi, mais si Julien n’a pas voulu vous le dire la semaine dernière, je pense que je n’ai pas à le dire non plus vu que nous habitons ensemble.

— Aucun soucis, je comprends totalement. Continuons, quand êtes-vous né ?

— Le 28 avril 1993.

— Je ne vais pas vous demandez si vous êtes en couple, alors parler-moi de votre famille.

— J’ai un petit frère Thomas, ma mère Jeanne, et mon défunt père Patrick mort renversé par un conducteur ivre. Il y a aussi Max mais Julien vous en a déjà parler.

— Oui, et désolé pour votre père.

— Merci, c’est gentil.

— Maintenant la dernière question de la soirée, avez-vous un ennemi ?

— Pas que je sache.

— D’accord, merci d’avoir répondu aux question.

— Merci à vous de m’avoir invitée.

— C’est la fin de cette interview, rendez-vous la semaine prochaine pour une autre interview. C’était Marlène Lagarde.